Le blog de esclave-de-pieds
En cette période difficile, je suis confiné à domicile comme beaucoup de français.
J'aimerai être confiné aux divins pieds de ma Maitresse.
Mais malheureusement, ce n'est pas le cas...
J'ai décidé de profiter de ce temps libre pour publier sur le blog que j'avais délaissé ces derniers mois.
Avant toute chose, je tenais à adresser un message de soutien à tout le personnel soignant et médical dans le combat qu'ils mènent contre cette terrible épidémie.
J'ai énormément de respect pour eux et pour le courage dont ils font preuve en première ligne face à ce virus.
Depuis la création du blog, je parle de ma vie d'esclave
de mon quotidien, de ce que je ressens.
Ce blog a toujours été pour moi un moyen d'exprimer ma vie d'esclave. Une vie dont je ne peux pas parler ouvertement car cela est encore trop mal compris et mal considéré.
Mais dans la période actuelle, je ne pouvais pas faire sans consacrer un article à la situation dramatique que la France et le monde traverse.
Au tout début, lorsque l'épidémie a démarré en Chine, je me disais, c'est loin, je n'avais pas plus d'inquiétude que cela. Puis je constatais que là-bas, l'épidémie prenait de plus en plus d'ampleur mais je ne pensais jamais que cela arriverai en France.
Puis les premiers cas sont apparus en France mais je ne paniquais pas pour autant. On entendait souvent qu'il s'agissait d'un virus proche de celui de la grippe surtout dangeureux pour les personnes âgées ou les personnes souffrant d'autres pathologies.
Mais aujourd'hui, je me rends compte que ce virus peut prendre des formes très graves même chez des personnes jeunes et en bonne santé.
Je n'ai jamais connu une telle situation. Il a été difficile d'adopter les gestes barrières, une distance d'un mètre, ne plus serrer la main, ne plus faire la bise. Et même, se résoudre à ne plus fréquenter les lieux public tels que les cafés ou les restaurants.
On avait l'habitude avec les virus de l'hiver, de parfois ne pas se faire la bise, se laver les mains contre les microbes mais pour autant je n'ai jamais eu peur d'avoir une vie sociale.
Mais ce terrible virus a fait voler en éclats toutes nos certitudes.
La situation que l'on vit aujourd'hui est digne d'un film, un film d'horreur...
La réalité a dépassé la fiction...
Il y a eu des précédentes épidémies mais je n'ai jamais été marqué comme je le suis aujourd'hui.
Peut être que c'est lié au fait que j'étais plus jeune et donc plus insouciant. il y a eu par exemple le virus de la grippe aviaire mais cette période ne m'a pas marqué comme je le suis aujourd'hui. Mais c'est surtout que je n'ai jamais été confronté à une telle pandémie mondiale.
J'avais entendu parlé de la grippe espagnole. Je savais qu'il s'agissait d'un terrible virus qui avait fait beaucoup de victimes. Mais j'avoue que je n'avais jamais fait de recherche sur ce sujet. Je me pensais protégé. Je pensais qu'avec les progrès de la médecine, cela ne pourrait plus se reproduire. Mais je m'étais bercé d'illusions. Nous sommes toujours aussi vulnérable face à un tel virus. Alors bien sûr, la médecine a fait énormément de progrès et grâce à cela il y aura moins de victimes qu'à l'époque, enfin j'espère.
Mais avec cette pandémie, nous prenons également conscience de la fragilité de nos sociétés, de nos limites...
Aujourd'hui contrairement à l'époque, il y a des millions de voyageurs ainsi un virus se répand à une vitesse folle sur toute la planète. C'est exactement ce qui s'est passé avec cette pandémie.
Je n'avais pas conscience de ce danger et là je le prends en pleine figure comme beaucoup je pense.
Mais je pense aussi que nos sociétés, que le monde actuel n'avait pas suffisament tiré les leçons du passé et que nous n'étions pas prêt à affronter une telle pandémie.
Lorsque cette crise sera terminée, j'espère que des leçons seront tirées par les différents gouvernements.
Pour ma part, je tirerai des enseignements de cette crise.
Avant je n'avais pas peur de la grippe. Enfin, je savais que l'on pouvait être cloué au lit et tres malade avec une grippe mais je n'y pensais pas plus que cela.
Mais dorenavant, chaques hivers, je serai beaucoup plus méfiant de la grippe. Je me laverai plus régulièrement les mains car ces virus ne sont malheureusement pas sans danger
Le Président de la Republique a dit que nous étions en guerre. C'est une phrase qui m'a profondément marqué.
Tout ce qui me parassait naturel car j'ai toujours connu la vie ainsi est devenu impossible.
il n'est plus possible de se rendre dans aucun lieux de détente. Les cafés, les restaurants, les cinémas, etc, tout est fermé.
il n'est même plus possible de sortir de chez soi sans une autorisation.
Tout cela parait inimaginable. Il y a encore quelques semaines, nous n'aurions jamais cru possible une telle situation et pourtant aujourd'hui c'est ainsi qu'il faut vivre pour une période indéterminée...
Je ne critique absolument pas toutes ces mesures car elles étaient indispensables, je pense même qu'elles auraient dû être prise avant.
Ce qui est dur à réaliser, c'est que du jour au lendemain, notre vie, notre manière de vivre a été complètement bouleversée.
Ayant déjà vécu des malheurs, je savais que la vie est précieuse et qu'il faut en profiter mais si j'avais su ce que nous allions traverser, j'aurai encore plus apprécié le bonheur simple de pouvoir boire un café en terrassse...
Lors de mes études, j'ai étudié les différentes guerres, mes grand parents m'en ont souvent parlé. J'avais conscience de l'horreur de la guerre, de la difficulté du quotidien en temps de guerre.
Mais au fond de moi, je me disais, je ne connaitrais jamais la guerre.
Ce qui parfois me faisait peur, c'était une attaque nucléaire ou bactériologique.
Mais je n'avais jamais imaginé connaitre une situation de guerre à cause de l'apparition d'un nouveau virus, d'une pandémie mondiale.
Je pense, ne pas être le seul à ressentir ce sentiment, je pense que pour plusieurs générations, il s'agit de la première situation de guerre.
Nous n'étions pas préparé surtout que cela fût brutal.
Aujourd'hui, comme tout le monde je pense, j'ai peur pour moi et pour mes proches. J'ai vraiment peur.
Je sais que le combat contre ce virus sera long mais j'espère de tout coeur que nous remporterons cette guerre.
J'espère que je traverserai cette crise sanitaire sans être touché, j'espère que ma famille, mes amis seront épargnés.
Si j'ai la chance de pouvoir échapper à cette crise, une chose est sûre, il y aura eu un avant cette crise et un après.
Ma vision de la vie sera totalement differente. Je serai encore plus qu'auparant a quel point la vie est précieuse et qu'il faut en profiter au maximum.
J'apprécierai chaques petits moment de la vie même les plus anodins car je me rappelerai qu'en temps de guerre ces plaisirs simples ne sont plus possibles.
Pendant cette période de confinement, je réfléchis beaucoup à ma vie d'esclave, à mon contrat d'appartenance. Comme je l'ai évoqué dans l'article précédent, je regrette de ne pas avoir été à la hauteur de mon statut d'esclave.
J'avais la chance d'avoir rencontré une Maitresse extraordinaire en la personne de Maitresse Val. J'avais la chance d'avoir réalisé mon rêve de signer un contrat d'appartenance. J'avais l'honneur de pouvoir prendre soin des merveilleux pieds de Maitresse Val. Mais malheureusement, j'ai parfois oublié le bonheur que j'avais et les devoirs que cela imposait...
Si j'ai la chance de traverser cette crise, je me consacrerai plus que jamais à ma vie d'esclave aux magnifiques pieds de Maitresse Val. Je ferai absolument tout pour mériter de retrouver une place aux sublimes pieds de Maitresse Val.
Comme je l'ai dis, après cette crise, j'apprecierai avec beaucoup plus d'intensité la vie en générale mais surtout je me consacrerai vraiment à ce qui est le plus important pour moi, c'est à dire ma vie d'esclave aux formidables pieds de ma Maitresse, Maitresse Val.
Aujourd'hui, nous sommes en période de confinement pour une durée indéterminée.
Ainsi, je suis dans l'impossibilité de rendre visite à ma Maitresse. Encore, faudrait-il que ma Maitresse m'accepte encore à ses magnifiques pieds.
Cela me rend tellement malheureux, tellement frustré.
Je regrette tellement de ne plus avoir rendu visite à Maitresse Val depuis le mois de novembre 2019.
Je regrette mon comportement de ces derniers mois comme je l'ai évoqué dans mon article précédent.
J'aurai voulu affronter cette période de confinement en étant en bon terme avec ma Maîtresse mais ce n'est pas le cas malheureusement à cause de mon attitude.
Aujourd'hui, je suis tellement malheureux de ne pas pouvoir rendre visite à ma Maîtresse et lorsque je n'étais pas en confinement je ne suis pas rendu aux merveilleux pieds de ma Maitresse. J'ai tellement de regrets.
Si j'ai la chance de pouvoir traverser cette crise, je me consacrerai corps et âme à Maitresse Val et je passerai le plus de temps possible à ses divins pieds.
J'espère que je pourrai écrire un article le plus rapidement possible pour dire que cette terrible crise sanitaire est derrière nous mais je sais qu'il faudra être patient et courageux.
Pour patienter pendant ce confinement, j'admire les photos des extraordinaires pieds de Maitresse Val en espérant pouvoir les retrouver en réel le plus rapidement possible.
J'avais atteind mon rêve en signant un contrat d'appartenance avec Maitresse Val. C'est bien d'atteindre son rêve mais il faut pouvoir le garder. Au lieu de cela, je me suis relâché.
Je regrette mon attitude vis à vis de Maitresse Val. J'ai même honte de mon comportement. Maitresse Val est une femme extraordinaire, je le pense sincèrement. Nous avions réussi à nouer une relation de confiance et j'ai tout cassé. Je m'étais engagé à ramper régulièrement aux divins pieds de ma Maitresse. il est de mon devoir de prendre soin des merveilleux pieds de ma Maitresse et de leur apporter du bien être. Je regrette tellement d'avoir oublié tout cela ces derniers mois.
Aujourd'hui, j'ai pris conscience que ce bonheur, ce privilège d'être aux divins pieds de Maitresse Val est fragile. J'ai compris que mon contrat m'impose des devoirs. J'ai compris que si je veux progresser, je dois être régulier.
J'ai tellement besoin d'embrasser, de lécher les formidables pieds de Maitresse Val.
Je ne sais pas comment j'ai pu rester si longtemps sans le faire...
Aujourd'hui, cela me manque tellement.
Maitresse Val, je vous demande pardon à genoux pour mon attitude de ces derniers mois. Je regrette tellement ces annulations, ces reports.
Je vous demande pardon de vous avoir blessé, d'avoir trahi votre confiance.
Je vous demande pardon de ne pas avoir pris soin de vos si jolis pieds.
Je vous implore à genoux de m'offrir une dernière chance. Je vous promets que je me consacrerai à ma servitude envers vous et que je ne vous décevrai plus jamais.
A tous les lecteurs, prenez bien soin de vous et de vos proches, respecter bien les gestes barrières et rester chez vous, aux pieds de votre Maitresse si vous avez cette chance...
