esclave-de-pieds

J'avais donc informé ma Princesse que j'acceptais de repasser mon examen en candidat libre comme tout le monde me le demandait et comme me l'avait exigé ma belle mère.

 Néanmois malgré le fait que j'avais accepté les conditions que ma belle mère m'avait imposé, elle refusait toujours de me revoir et ne me demandait plus de masser ses jolis pieds.

J'ai tenté d'en parler à ma Princesse mais elle s'est énervée. Elle m'a répondu ceci :" Je t'ai déjà dis que j'avais dis à ma mère que tu acceptais de repasser ton examen et que tu souhaitais pouvoir de nouveau lui masser les pieds. Mais elle m'a répondu que pour le moment elle ne voulait pas te revoir. Tu l'as énervé, tu l'as déçu, je t'avais prévenu que ma mère n'avait pas un caractère facile. Tu te plains souvent en me disant que je n'ai pas un caractère facile et que je suis dure avec toi mais sache que je suis un ange par rapport à ma mère...

Ma mère est une femme autoritaire et crois moi maintenant que tu es sous son emprise, tu n'as pas fini de souffrir et de te soumettre."

J'ai alors répondu à ma Princesse : "Arrête de dire que je suis sous emprise, j'apprécie simplement de prendre soin de ses pieds, je sais que cela la soulage. Tu connais ma passion pour les pieds."

Ma Princesse s'est alors de nouveau énervée en me disant :" tu m'énerves à toujours nier, tu es devenu l'esclave de ma mère et par moment je me demande même si tu n'es pas tombé amoureux d'elle, j'aimerai que tu le reconnaisse."

J'ai essayé de répondre mais ma princesse m'a coupé la parole en me disant : "je ne veux plus t'entendre".

Puis elle me dit :

"Cette après-midi, tu me conduis au coiffeur, je sais que ma mère est chez elle, essai d'aller la voir avec ta valissette de massage. Je sais qu'au fond elle a envi d'un massage de pieds, tu réusssiras peut être à la faire craquer, qui sait? Si tu te soumets bien comme un bon petit esclave."

Puis ma Princesse s'est mise à rire aux éclats.

L'après midi j'ai donc conduis comme prévu, ma Princesse chez le coiffeur. Puis j'ai été chez ma belle mère avec ma valissette de massage.

J'ai sonné, j'ai entendu la voix autoritaire de ma belle mère qui a dit : "Entré".

J'ai ouvert la porte, j'ai dit "bonjour madame", ma belle mère était debout, elle était en train de débarrasser la table, elle venait de finir de manger.

Elle m'a dit " tu tombes bien"

Elle m'a donné l'éponge à vaisselle et m'a dit "nettoie la table et fais la vaisselle."

Ma belle mère est partie s'asseoir dans le canapé. Elle regardait la télé pendant que j exécutais les taches ménagères. Ma belle mère ne me parlait pas.

Lorsque j'ai eu fini mon travail, je suis aller devant ma belle mère. Je me suis naturellement mis à genoux devant cette déesse.

 Je ne pouvais m'empêcher d'admirer ses merveileux pieds. Elle portait ses chaussures d'intérieurs que je lui avais offertes. Je pouvais admirer la peau nu de ses sublimes pieds.

Ma belle mère m'a dit :"Qu'est ce que tu viens faire ici?"

J'ai répondu : "Votre fille vous a dit que j'acceptais de passer mon examen en candidat libre. Je me suis dis que vous pourriez avoir envi d'un bon massage de pieds."

Ma belle mère s'est alors mise en colère et m'a dit :"tu penses que parce que tu acceptes de repasser ton examen, tu as automatiquement le droit de revenir à mes pieds. Tu te prends pour qui?

Tu m'as déçu et je n'ai plus envi de t'avoir à mes pieds. tu peux rentrer chez toi."

Je ne pouvais pas supporter d'être privé des merveilleux pieds de ma belle mère.

Je me suis alors allongé à plat ventre sur le sol et je l'ai supplié de me pardonner. Puis je me suis mis à embrasser et lécher ses orteils, ses talons.

Je suppliais ma belle mère en lui disant que j'ai besoin d'être à ses magnifiques pieds, que j'ai besoin de devenir son esclave.

Ma belle mère m'a dit :" tu te rends compte de ce que tu dis, ce que tu fais. Si ta famille te voyait en train de te prosterner comme cela devant moi".

Je n'arrêtais pas pour autant, je la suppliais, je pleurais même, je ne pouvais me retenir.

Je pense que finalement ma belle mère fut émue par mon attitude et m'a dit : "tu peux retirer mes chaussures et me lécher les pieds".

J'ai alors retiré les chaussures de ma belle mère les unes après les autres.

J'ai embrassé les merveilleux pieds de ma belle mère.

 Je suçais chacun de ses jolis orteils. J'ai léché entre ses orteils. J'ai léché sa plante de pieds, ses talons, cela dura un long moment.

Puis ma belle mère me dit :" tu peux arrêter, cela fut très agréable".

 J'ai alors remis ses chaussures. Ma belle mère m'a dit : "tu te rends compte que tu m'as supplié de devenir mon esclave, tu te rends compte la manière dont tu te soumets à moi."

J'ai répondu : "oui madame, j'en ai conscience mais je suis sûr de moi, ma vie est à vos jolis pieds".

Ma belle mère m'a dit : "tu n'es plus amoureux de ma fille?"

J'ai répondu : "si madame, j'en suis fou amoureux mais votre fille ne m'aime pas, elle ne m'aimera jamais".

Je suis bien à vos jolis pieds, je me sens apaisé.

Ma belle mere m a alors dit : "je sais que tu vis une situation dfficile avec ma fille.

Si tu es sur de toi, je t'accepte comme esclave à mes pieds car je dois t'avouer, j 'apprécie de plus en plus de t'avoir à mes pieds, à mon service."

J'ai alors remercié ma belle mère qui m'a dit : "j'espère que tu ne me décevras plus."

J'ai répondu "non" sans savoir que quelques jours plus tard, je serai confronté à un nouveau problème qui pourrait remettre en cause mon statut d'esclave aux pieds de ma belle mère...