esclave-de-pieds

L'été était passé. Ma Princesse avait repris le chemin du lycée pour redoubler sa terminale. Moi comme prévu, j'avais promis à ma belle mère de passer mon examen en candidat libre.

Tout les matins, ma belle mère m'obligeait à arriver chez elle tout de suite après avoir conduit sa fille au lycée.

Ma belle mère m'avait demandé de ramener tous mes cours concernant les matières que je devais repasser pour mon examen.

Ma belle mère ne travaillait pas à ce moment là. Lorsque j'arrivais, elle venait souvent juste de se lever. Je la voyais donc sortie du lit. Ma belle mère était toujours aussi belle. Elle portait son peignoir. Je ne pouvais m'empêcher d'imaginer son corps nue sous le peignoir.

Ses longs cheveux n'étaient pas attachés lorsqu'elle se réveillait.

Elle portait toujours les sandalles que je lui avais acheté. Elle les portait pieds nus mais il était hors de question pour moi de pouvoir être à ses jolis pieds.

 

J'avais perdu ce droit depuis mes problèmes d'argent.

En arrivant,  tous les matins, je devais préparer le petit déjeuner de ma belle mère. Je lui préparais son café, ses tartines avec du pain chaud que je ramenais tous les matins. Je lui préparais sa pate chocolaté que ma belle mère adore tartiner  et  tremper dans son café.

Je luis préparais également son miel.

Ma belle mère s'installait à table, je lui apportais le petit déjeuner.

 

 

Ma belle mère m'obligeait à me mettre à genoux sous la table à ses magnifiques pieds. J'avais mon visage à quelques centimètres de ses sublimes pieds mais j'avais l'interdiction de les toucher, de les embrasser.

Ma belle mère savait que cela représentait pour moi une véritable torture mais c'était ma punition pour l'avoir énormément déçue avec mes problèmes d'argent.

Je me souviens d'un matin ou mon désir pour les magnifiques pieds de ma belle mère était si intense que je l'ai supplié pendant tout le temps ou ma belle mère a déjeuné.

Je la suppliais, je l'implorais de me laisser l'honneur de lui embrsser les pieds. J'ai imploré son pardon, cela dura de très longues minutes.

 

Puis soudainement ma belle mère s'est levée, elle m'a attrappé violement par les cheveux pour m'obliger à sortir de sous la table. Elle se tenait debout face à moi. J'étais à genoux, elle tenait une mèche de mes cheuveux dans ses mains.

Elle m'a dit : "je pense que j'ai été plus que comphréensive avec toi. Je t'ai rencontré, je t'ai vu fou amoureux de ma fille. Je t'ai vu te soumettre de plus en plus devant ma fille. Cela m'a ému et m'a aussi déplu car cela m'a rappellé le comportement de ma soeur Marie qui a toujours traité les hommes comme des esclaves.

Puis ma fille a voulu se débarasser de toi pour pouvoir vivre pleinement sa relation amoureuse avec son ami. Je ne pouvais pas la forcer à t'aimer même si j'aurai voulu, par contre elle n'était pas obligé de t'imposer de venir à mes pieds. Si elle a fait cela, c'etait pour t'humilier. Et cela a marché car comme toujours, tu lui as obéis.

J'ai alors découvert à mes pieds un jeune homme vraiment attachant et surtout j'ai vu le bonheur que tu ressentais lorsque tu étais à mes pieds. J'ai vu que tu étais sincère lorsque tu me supplliais de t'accepter à mes pieds. Et finalement, je t'ai accepté comme esclave à mes pieds car j'ai vu que cela te rendait vraiment heureux et j'ai tourné le dos à tous mes préjugés car après tout chacun a le droit de trouver le bonheur là ou il veut.

 

Toi ton bonheur tu le trouves à mes pieds et moi j'aime quand tu es à mes pieds, alors pourquoi pas?

Grace à toi, je me suis rapproché de ma soeur Marie après des années durant lesquelles, nous ne nous parlions plus car je n'acceptais pas sa manière de traiter les hommes.

 

J'ai compris que certains hommes avaient besoin d'un tel traitement pour être heureux alors pourquoi te priver ce bonheur.

Donc voilà, tu avais eu ce que tu voulais, tu étais à mes pieds. Mais voilà, tu as tout gaché. Déjà je t'ai pardonné d'avoir raté ton examen car ma fille était dans les bras d'un autre  à ce moment là donc je peux comprendre que tu n'avais pas la tête à tes examens mais après avec tes problèmes financiers là tu as dépassé les bornes.

Non seulement tu as dépensé toutes tes économies par amour pour ma fille. Tu as dépensé tout ton argent dans tout et n'importe quoi, dans du maquillage, des produits de beauté, des habits. Et comme cela ne suffissait pas, il a fallu qu tu utilises la carte bleue de tes parents. Il a fallu qur tu utilises abusivement les chèques de tes parents et même leur voler leur économie. Je suis désolé, je t'ai pardonné beaucoup de choses mais là je ne peux pas, cela ne passe pas. Tu as été trop loin. Je me mets à la place de tes parents, tu imagines à quel point tu les a déçu. Je peux te dire que tu as des parents vraiment gentils car si c'était ma fille qui avait fait le tiers de ce que tu as fait, je peux te dire que les choses se seraient vraiment passé différement.

J'ai décidé de t'aider financièrement car comme je l'ai dis je me sentais responsable en parti de ce qui t'arrive. Donc en échange comme tu es incapable de me rembourser, tu travailleras pour moi ici chez moi jusqu'à ce que je juge que tu m'as remboursé.

Si tous les matins, je t'oblige à te mettre à genoux à mes pieds,ce n'est pas par pure méchanceté. Je sais à quel point tu désires être mes pieds et je sais que pour toi c'est une torture d'etre à quelques centimètres de mes pieds sans pouvoir ni les toucher ni les embrasser.

Mais par cette action, je veux que tu comprennes que dans la vie tous tes actes auront toujours des conséquences.

Tu t'es mal conduit en volant tes parents etc, tu m'as déçu et je veux que tu comprennes que c'est à cause de ton mauvais comportement que tu as perdu le droit d'être à mes pieds.

Je veux te permettre de tirer des enseignements de tout cela, je veux t'aider à murir".

 

Comme toujours, ma belle mère avait raison. Malheureusement, je n'ai pas suffissament tiré les leçons de tout cela.

 

Avec ma dernière Princesse, je me suis mal comporté et aujourd'hui une nouvelle fois je paie les conséquens de mes actes. Je suis séparé de la femme que j'aime, de mon enfant que je considérais comme le mien, je vis cette douleur intense car je me suis mal comporté.

 

Ma belle mère m'a demandé: "tu comprends?"

 

J'ai répondu "oui madame" je comprends puis j'ai enchainé en lui disant, j'ai pris conscience que j'avais fait n'importe quoi avec mon argent...

 

Ma belle m'obligeait à faire la vaisselle, faire les poussières, aspirer, laver le sol. Laver les carreaux, faire la lessive, pendre et ranger le linge. Laver la salle de bain, laver les toilettes...

 

J'étais devenu son domestique.

 

Cette torture d'être privé des jolies pieds de ma belle mère dura des longues semaines, de trop longues semaines jusqu'à ce qu'un évènement se produise...

 

Un matin, ma Princesse en a eu marre que je passe toutes mes journée chez sa mère à faire le domestique.

Un midi alors que je la ramenais chez elle pour qu'elle mange comme tous les midis, elle s'énerva sur sa mère et lui dit :

 

"Cette aprem, il ne reviendra pas chez toi après m'avoir conduit".

Ma belle a répondu : Et pourquoi?

 

J'en ai marre que tu te serves de lui comme d'un esclave. Certes tu l'as aidé financièrement mais tu trouves normale pour autant de l'utiliser ainsi?

 

Je me suis approché pour dire que je ne me plaignais pas de cette situation mais ma Princesse me dit " Ferme la"

Je me suis donc exécuté.

Ma belle mère répondit alors à sa fille :" n'inverse pas les rôles, c'est toi qui a obligé ton copain à venir à mes pieds. Tu n'avais qu'une envie, l'humilier et surtout être tranquille avec ton nouveau copain."

Ma Princesse répondit " oui mais tu y as bien pris gout..."

Et alors tu es jalouse? Oui tu l'es car tu pensais l'humilier en le mettant à mes pieds mais au contraire tu as constaté qu'il était de plus en plus heureux à mes pieds  et cela tu ne le supporte plus..."

N'importe quoi

Mais si, je te connais, tu vois qu'il t'échappe et tu ne le supportes pas. Tant qu'il était à tes pieds, tu t'en fichais mais maintenant qu'il s'éloigne il t'interesse plus.

Ma Princesse répondit à sa mère :

N'importe quoi tu penses vraiment qu'il va s éloigner de moi pour toi, tu rêves.

J'écoutais mais je n'osais pas intervenir car ces deux magngiques dominatrices étaient bien trop énervés.

 

Ma belle répondit : c 'est donc cela qui te dérange le plus, tu ne supportes pas qu'il se rapproche de moi"

Mais toi tu reves mais il est à tes pieds uniquement par ce que je lui ai ordonné de le faire et là par ce qu'il se sent redevable, désolé de te décevoir.

 

Ma belle mère dit : "Ok, désolé de te décevoir mais il est à mes pieds car cela le rend heureux".

 

Ma Princesse  dit :"Tu rêves vraiment".

 On a qu'à lui demander de choisir tout de suite, on sera fixé.

C'est facile pour le moment, il se sent redevable donc ce n'est pas fiable."

Ma belle mère rétorqua à sa fille : "Ok, j'efface sa dette".

 

Ma Princesse dit : "tu es sérieuse"?

Oui s'il te choisit, il ne sera plus dans l'obligation de venir faire le ménage chez moi.

 

Ok cela me convient.

 

Ces deux magnifiques dominatrices se tenaient debout face à moi.

 

 

Ma Princesse prit la parole et m'ordonna de me lever.

 

Elle me dit ceci :" tu vas te mettre à genoux devant la personne dont tu as le plus envi d'être aux pieds et de te soumettre".

J'ai alors répondu que cette situation me mettrait mal à l'aise

.

Ma Princesse enchaina tu n'as pas le choix, tu dois choisir.

Je regardais les magnifiques pieds nus de ma belle mère dans ses jolis sandalles, je les désire tant depuis des semaines encore et encore.

je regardais les superbes pieds nus dans de ma Princesse, les ongles vernis dans ses chaussures à lacet, je les avais tellement léché.

J'étais là hésitant, ma Princesse m'a secoué et me dit :" qu'est ce que tu attends pour te décider".

ma belle mère a alors répondu :" laisse ce garçon choisir, tu es en colère qu'il hésite".

Ma Princesse était en colère et me dit maintenant décide toi.

J'ai alors arrêté de réfléchir et j'ai laissé mon coeur, mon désir choisir.

Je me suis approché et je me suis aggenouillé devant ma belle mère.

J'ai été plus loin j'ai posé ma tete face contre le sol entre les sublimes pieds de ma belle mère.

je dois avoué qu'un silence qui me paru interminable pris le relais au nombreux échanges entre ma princesse et ma belle mère.

C'est ma princesse qui rompa ce silence. je ne la voyais pas car j'avaIs toujours ma tete contre le sol mais j'ai entendu à sa voix que ma princesse était très en colère.

Elle dit tu as fait ce choix, tu  vas t'en mordre les doigts car je ne te reprendrai jamais.

Ma belle mère lui dit de se calmer et elle ajouta "je te l'avais dis qu'il était bien à mes pieds".

  Puis ma Princesse enchaina et dit je voudrai lui poser une question.

ma belle mere m'ordonna de lever la tete d'écouter sa fille et de lui répondre.

Ma Princesse me dit :" Au début tu étais tout intimidé d'aller aux pieds de ma mère, tu as été parce que je t'y ai obligé alors pourquoi tu l'as choisie?"

J'ai alors répondu :"Je ne peux pas l'expliquer,

 

je me sens à ma place aux pieds de ta mère".

Ma Princesse a alors dit  "puisque tu y es si bien, reste y".

Puis elle partie en claquant la porte.

 

Je me retrouvais là à genoux devant ma belle mère. je la sentais mal à l'aise suite à ce qui venait de se passer.

Ma belle mère me dit relève toi.

Je me suis exécuté.

Ma belle mère est parti s'asseoir et dit " tu peux partir, j'ai effacé ta dette, tu es libre".

 

J'ai répondu que je ne voulais pas partir.

 

Vous savez, j'ai été sincère, je me sens à ma place à vos jolis pieds.

Ma belle mère me répondit :" je suis désolé mais je n'ai pas la tête à cela, je viens de me disputer avec ma fille, tu crois que cela me fait plaisir.

 

J'ai dit à ma belle mère :"Je suis désolé, je n'ai jamais voulu être une cause de dispute pour vous".

  Oui je sais mais j'en suis arrivé à faire un concours avec ma fille pour savoir qui tu allais choisir. Je pense que toute cette histoire de t'avoir à mes pieds etc, cela nous a monté à la tête.

 

Donc, je vais te demander de partir et d'oublier mes pieds etc.

J'ai alors dit à ma belle mère : " mais j'ai besoin..."

Je n'ai pas eu le temps de finir ma phrase, ma belle mère m'arrêta et me dit " arrête, je t'ai dis c'est terminé"

Tu reprends ta vie, ce sera mieux pour tout le monde.

 

J'ai dit au revoir madame en regardant une dernière fois ces jolis pieds"...

 

Plusieurs semaines se sont passées, je pensais vraiment avoir tout perdu.

 

Ma belle mère ne voulait plus me voir, je n'osais pas retourner la voir, elle avait été claire pourtant je pensais à ses jolis pieds quasiment en permanence. Je les désirais tellement...

 

Ma Princesse ne voulait plus me voir non plus. Depuis que j'avais choisi sa mère, elle ne répondait même plus à mes sms...

 

j'étais seul chez moi, je tentais de me concentrer sur mes révisions tant bien que mal.

 

Alors que je n'y croyais plus, j'ai eu un appel qui a tout changé...

c'était la tante Marie de ma Princesse qui m'appela.

Elle me dit : "Je t'attends cette aprem à 15H chez ma soeur"

J'ai alors répondu "pourquoi?"

elle m'a répondu : "tu verras cette aprem".

 

Je me demandais ce qu'il m'attendait...

 

Vous le découvrirez prochainement.