Un ami qui était également amoureux de ma Princesse nous proposa de passer quelques jours chez lui. C'était l'un des seuls de la bande qui nous contactait encore après la rupture de ma Princesse avec Clément.

 

Ses parents étaient partis en vacances, il avait la maison pour lui pour la semaine.

 

Nous avons passé une première soirée chez lui. Nous étions à trois, ma Princesse savait que nous étions tous les deux amoureux d'elle.

 

Nous avons mangé ensemble puis nous avons mis un dvd que nous avions loué. Ma Princesse s'allongea sur le canapé et nous dis : "Vous allez me masser les pieds..."

 

Pour moi, c'était une habitude mais je me demandais comment aller réagir notre ami. Il le prit en rigolant et accepta de se plier aux volontés de ma Princesse. Nous étions tous les deux à genoux aux jolis pieds de ma Maîtresse.

 Elle nous ordonna de lui retirer chacun une chaussure.

Mon ami a prit à sa mere une crème de massage. Nous avons commencé le massage.

 

Nous avions prévu de passer la nuit chez notre ami. Il y avait un double lit et un lit simple.

Ma Princesse a dit : "celui qui me massera le mieux les pieds aura le droit de dormir avec moi cette nuit..."

 

Nous étions ainsi tous les deux très motivés.

 

Mon ami avait donné un double de clé à ma Princesse car il travaillait la journée pour que nous puissions resté chez lui, c'était vraiment sympa de sa part.

D'ailleurs, pour l'anecdote, il n'a jamais récupéré ce double de clés.

 

Nous massions encore et encore les jolis pieds de ma Princesse.

 J'avais tellement envi de lécher ses sublimes pieds mais bien sûr devant mon ami, je n'osais pas.

Je me demandais si ma Princesse allait obliger mon ami à lui embrasser les pieds mais elle ne le fit pas . Elle nous obligea à lui masser les pieds durant toute la durée du film.

 

Puis lorsque le film prit fin, ma Princesse désigna le vainqueur.

 J'avoue que j'étais confiant car j'avais l'habitude de lui masser les pieds contrairement à mon ami. Mais à mon grand étonnement, ma Princesse désigna mon ami comme vainqueur.

Elle dit ceci : "cette nuit je vais dormir avec lui. Toi tu dormiras seul dans ton petit lit. Demain tu te leveras et tu iras chercher des croissants, tu me préparera le petit déjeuner pour 10H".

 

Mon ami rigolait, il se moquait de moi et dit : "moi je dois partir pour 8H, je bosse". J'avoue que j'ai eu du mal à dormir en sachant que ma Princesse était dans le lit avec mon pote. Le lendemain matin, ma Princesse se leva à l'heure prévue. Elle descendit en pyjama. Je l'ai alors acceuilli dans la cuisine. J'avais tout préparé, les croissants, le chocolat au lait.

Ma Princesse s'est installée sur sa chaise et déjeuna.

 Elle me dit : "ne reste pas comme cela planté à me regarder, tu m'énerves. Met toi à genoux sous la table et réchauffe moi les pieds. Il fait froid ici." Je me suis exécuté immédiatement. Ma Princesse était pieds nus dans des sandalles.

 

 

 

 J'ai retiré ses chaussures et j'ai mis mes mains au tour de ses jolis pieds pour lui réchauffer.

Puis j'ai commencé à lui masser ses magnifiques pieds. Au bout d'une trentaine de minutes, ma Princesse me dit que je pouvais me relever.

Elle me dit en rigolant :"alors tu as bien dormi dans ton petit lit?!"

J'ai répondu : "non pas tellement. c'était pas facile de te savoir dans le même lit que lui".

Ma Domina me répondit :"Tu es jaloux, tu aimerai savoir ce que l'on a fait cette nuit... et bien tu ne le seras pas..."

J'ai demandé si je pouvais lui poser une question, elle me dit oui.

J'ai demandé à ma Maîtresse : "Il a vraiment mieux masser tes pieds que moi hier soir?".

Ma Maîtresse me répondit :" Non ne t'inquiète pas, t'es pas doué pour grand chose mais tu masses merveilleusement bien les pieds, lui c'est quasiment déséagrable mais j'avais envi de t'embeter hier soir".

Puis ma Princesse m'ordonna d'aller lui préparer un bain bien chaud car elle voulait se réchauffer.

Je me suis exécuté.

Pendant que ma Princesse prenait son bain, elle m'ordonna de me mettre à genoux au bout de la baignoire.

Elle me présenta ses jolis pieds et m'ordonna de les lécher.

 

 

 

 J'embrassais les sublimes pieds de ma Princesse. Je suçais chacun de ses jolis orteils. Je léchais encore et encore les magnifiques pieds de ma Princesse. Ma langue carressait les sublimes pieds de ma Maitresse de haut en bas.

J'avais de la mousse dans la bouche.

Ma Princesse se détendait et profitait de son bain pendant que je prenais plaisir à vénérer ses magnifiques pieds.

J'étais heureux aux pieds de ma Princesse mais je ne pouvais m'empêcher de penser aux sublimes pieds de ma belle mère.

 

Je désirais tellement les merveilleux pieds de ma belle mère que j'ai fait l'erreur de demander ceci à ma Princesse : "Tu penses que cette après-midi, je pourrais aller masser les pieds de ta mère?"

 

Ma Maitresse me donna alors un violent coup de pied dans le visage et me dit ceci :" dégage, je ne veux plus te voir. Je t'offre le cadeau de pouvoir me lécher les pieds pendant que je prends mon bain et toi tu ne penses qu à une chose, c'est d'aller voir ma mère".

 

J'ai très vite pris conscience que j'avais été très maladroit avec ma Princesse mais je ne pouvais plus me passer des merveilleux pieds de ma belle mère. J'étais prêt à tout pour être aux jolis pieds de ma belle mère.

 

Ma belle mère m'avait accepté comme esclave de pieds mais ma Princesse ne le savait pas encore.

 

J'ai présenté mes excuses à ma Princesse mais c'était trop tard. Elle me dit ceci : "Je ne veux plus te voir. Va faire les courses pour manger ce soir et loue nous un DVD. On reparlera de ton attitude vis à vis de ma mère quand tu rentreras".

Je me suis exécuté, je suis parti faire les courses.

 

J'ai commencé par aller au distributeur pour retirer de l'argent.

 

A mon grand désespoir, ma carte bleu fut avalée par le distributeur.

 

L'agence bancaire étant ouverte, j'aurai pu entrer pour demander pour récupérer ma carte mais je n'osais pas.

En effet, je savais que ma carte bleue avait été avalée car je n'avais plus un seul centime sur mon compte.

Je ne savais plus quoi faire...

Je suis resté un moment dans ma voiture à ruminer puis j'ai décidé de retourner voir ma Princesse.

Je suis donc rentrer chez mon ami. Ma Domina était installée dans le canapé. Elle avait pris son bain, elle était magnifique.

 

Ma Princesse m'a immédiatement dit :"Ou sont les courses?"

J'ai alors expliqué à ma Princesse que je n'avais pu faire aucune course car ma carte bleue avait été avalée.

Ma Domina m'a immédiatement demandé pourquoi je n'étais pas rentrer dans l'agence pour la récupérer.

Je n'avais donc plus le choix, j'étais obligé d'avouer la vérité à ma Princesse :

"Je n'ai plus d'argent sur mon compte, c'est pour cela que ma carte a été avalée."

Ma Princesse m'a alors dit :" tu ne peux pas prendre dans tes économies ou demander un virement à tes parents?".

J'ai alors répondu à ma Maîtresse : "Je n'ai plus aucune économie, j'ai vidé complètement mon livret jeune et mon livret A. Je n'ai absolument plus rien."

Ma Domina m'a alors répondu : "Demande à tes parents."

J'ai dis : "Je ne peux pas. Mes parents ne veulent plus me prêter d'argent."

Ma Maîtresse a alors dit : "C'est malin et comment fait on maintenant?"

Je voyais que ma Princesse était en train de s'énerver.

Elle me dit : "Depuis que l'on se connait, je t'ai dis que tu ne devais pas dépenser tant pour moi, je me suis inquiété et tu m'as toujours dit qu'il n'y avait pas de soucis."

J'ai dis : "Oui je sais mais je voulais te faire plaisir et je ne voulais pas t'inquiéter."

Ma Domina m'a dit : "tu n'es qu'un abruti".

 

Je ne savais plus quoi dire...

 

Après un moment de silence, ma Princesse me dit : "Conduis moi à la friterie, j'ai faim. je vais payer puisque tu es ruiné."

 

Nous sommes rentrés de la friterie, ma Princesse avait pris un américain. Elle ne m'avait rien pris en me disant que je ne le méritais pas.

Elle s'est assise dans la cuisine pour manger.

Elle m'ordonna de me mettre à genoux sous la table car elle ne voulait plus me voir.

Ma Princesse m'a dit : "tu pourras admirer mes pieds mais interdiction de les toucher, je sais que c'est une torture pour toi.

Je suis donc resté à genoux un long moment en admirant les sublimes pieds de ma Princesse, je les désirais tellement...

 

 

Puis ma Princesse s'est lévée et me dit : "Tu as de la chance, je n'ai pas réussi à tout manger, je te laisse manger mes restes."

J'ai remercié ma Princesse.

 

Puis ma Domina me dit : "Nous allons aller voir ma mère, je vais lui expliquer le problème."

Je me suis alors jeté à genoux aux pieds de ma Princesse en la suppliant de ne pas le dire à sa mère.

 

Ma Maitresse  m'a répondu :" tu as peur de ma mère, tu la crainds. Je te comprends, j'aimerai pas être à ta place. Moi si j'avais fait ce que tu as fait avec mon argent. Ma mère m'infligerai une raclée et une sacrée une punition."

 

Je suppliais ma Princesse de ne pas le dire à sa mère mais ma Maîtresse rigolait aux éclats. Elle me dit : "ça me fait marrer de voir comment tu as peur de ma mère... Arrête de me supplier, garde ta salive pour ma mère car à mon avis tu vas devoir la supplier pendant des heures. De toute façon, tu sais que je ne cache rien à ma mère. Allez en route, on y va."

 

Je n'avais pas le choix. Nous nous sommes donc mis en route.

 

Ma Princesse ne savait pas que sa mère m'avait accepté comme esclave de pieds.

 

Je savais que là, je risquais de perdre ce statut d'esclave que j'avais eu tant de mal à conquérir aux merveilleux pieds de ma belle mère.

 

 

Nous sommes donc arrivés chez ma belle mère. J'ai demandé à ma Princesse pour ne pas rentrer mais elle m'y obligea.

Nous sommes rentrés, ma belle mère était occupé dans le jardin. Nous avons été dire bonjour.

J'ai immédiatement regarder les pieds de ma belle mère. Je les désirais tellement.

Ma Domina demanda à sa mère de venir dans la pièce car elle devait lui parler.

J'étais hyper stressé.

Ma belle mère est donc venu s'asseoir autour de la table et demanda à sa fille : "Que se passe t-il?"

Ma Princesse a alors expliqué à sa mère que j'avais voulu retirer de l'argent et que ma carte bleue avait été avalé car je n'avais plus d'argent sur mon compte.

Ma belle mère se tourna vers moi et me regarda d'un regard noir qui me glaça le sang. D'une voix autoritaire, elle m'ordonna de venir me mettre à genoux devant elle.

J'ai vu que ma Princesse fut étonnée par la demande de sa mère mais je me suis exécuté immédiatement.

Je me suis mis à genoux devant ma belle mère.

Elle me regarda droit dans les yeux et me dit ceci :" A plusieurs reprises, je t'ai demandé d'arrêter de payer des habits, du maquillage et des restaurants à ma fille. Mais tu ne m'as jamais écouté, tu as toujours continué.

je t'ai fait plusieurs chèques pour participer à tes frais d'essence car tu conduis ma fille partout.

J'aimerai comprendre pourquoi aujourd'hui j'apprends que tu n'as plus d'argent.

Je ne t'ai jamais demandé de ou te venait tout cet argent que tu dépensais pour ma fille car j'ai toujours considéré que cela ne me regardait pas mais aujourd'hui je veux des explications alors je t'écoute."

 

J'ai dis à ma belle mère : "Mes parents m'ont toujours donné beaucoup d'argent pour mes sorties avec mes amis. C'est vrai que lorsque j'ai rencontré votre fille, j'ai dépensé plus. Je demandais donc plus d'argent à mes parents. Mais ils en ont eu marre et ils ont décidé d'arrêter de me donner de l'argent. J'avais un livret jeune au plafond et un livret A bien rempli. Peu à peu, j'ai pris dans mes économies pour couvrir mes dépenses quotidiennes.

Le problème est que je n'ai plus aucune économie, j'ai tout dépensé."

 

Ma belle mère m'a alors dit :"Tu es en train de me dire que tu as dépensé le contenu un livret jeune et un livret A en quelques mois seulement.

 

J'ai alors répondu à ma belle mère : "Oui Madame."

 

Ma belle mère m'a alors giflé une première fois avec sa main droite puis une seconde fois avec le revers de la même main .

Ma Princesse s'est alors brutalement levée de sa chaise. J'ai eu le temps de la regarder et j'ai vu sur son visage qu'elle était aussi surprise que moi par la réaction de sa mère.

Ma Domina a dit à sa mère : "Mais qu'est ce que tu fais?"

Ma belle mère lui a répondu : "Assis toi et laisse moi gérer."

Ma belle mère est une femme tellement autoritaire, sa fille lui obéit.

J'ai senti les deux gifles, ma belle mère a de la force, je n'avais jamais reçu une gifle aussi violente.

Ma belle mère est une femme de taille moyenne. Elle a des formes généreuses et une force assez impressionnante.

 

Mes joues s'en souviennent encore.

Puis ma belle mère me dit : "Est-ce que tu te rends compte des sommes hallucinantes que tu as dépensé en quelques semaines. Est-ce que tu as conscience que c'est de la folie?"

J'étais toujours à genoux devant ma belle mère, je ne savais plus quoi répondre.

 

Voyant que je ne répondais pas, ma belle mère reprit la parole et dit ceci :

"Moi, je n'ai jamais eu la chance d'avoir une famille qui puisse m'aider financièrement. Lorsque je suis parti de chez moi à l'âge de 18 ans, je n'avais qu'un sac à dos avec quelques affaires.

Je t'ai toujours considéré comme un brave garçon, j'ai toujours eu beaucoup d'affection pour toi. Je te vois si amoureux de ma fille depuis plusieurs mois. Je te vois te soumettre par amour pour ma fille.

J'ai vraiment été touché.

Tu m'as déçu une première fois en échouant à ton examen alors que je sais que tu avais les capacités de l'obtenir. Et qu'en plus tu refuses de repasser ton examen.

Tu as de la chance que tes parents te paient des études supérieures, moi je n'ai pas eu cette chance.

Je t'avais pardonné cette première erreur mais là ce que je viens d'apprendre. Je ne peux pas comprendre que l'on puisse dépenser tant d'argent en si peu de temps.

De ou venait ses économies que tu as dilapidé?

 

J'ai répondu à ma belle mère :"Ce sont mes parents qui m'ont donné de l'argent depuis que je suis petit. Je déposais également régulièrement sur ces comptes mon argent d'anniversaire et de noël."

 

Ma belle mère reprit la parole : "Tu as de la chance d'avoir une famille aimante qui est généreuse avec toi. Tu avais économisé depuis ta naissance et tu as tout dépensé en quelques semaines, cela ne te fait pas mal au coeur?

Comme je te l'ai dis, lorsque je suis parti chez moi, je n'avais rien. J'ai travaillé toute ma vie pour avoir ce que j'ai, pour pouvoir économiser.

J'ai travaillé de nuit, je me levais à 4 heures du matin. Je faisais plus d'une heure de route pour aller travailler. J'ai travailler à l'usine pendant des années.

J'ai travaillé dans des chambres froides. J'ai fait du ménage pour gagner ma vie. L'argent ne tombe pas du ciel. Il faut travailler dur pour gagner de l'argent. J'ai économisé toute ma vie en faisant attention à chaques dépenses. C'est comme cela que j'ai toujours traversé les difficultés de la vie, le chômage, la maladie. Si je n'avais pas fait d'économie, je ne sais pas comment nous aurions vécu. Alors franchement quand j'entends que tu as dépensé tant d'argent en si peu de temps et pour des conneries, cela me rend malade."

J'étais toujours à genoux devant ma belle mère. Je n'osais pas la regarder dans les yeux, je regardais ses merveilleux pieds.

 

Ma belle mère me dit ensuite :" Regarde moi quand je te parle".

Puis elle me gifla de nouveau à plusieurs reprises. J'encaissais les coups sans rien dire. Ma Princesse demanda à sa mère de se calmer.

 

Je savais que me belle mère était une femme très autoritaire mais je ne l'avais jamais vu aussi énervée. Ce jour là j'ai pris conscience que ma belle mère est beaucoup plus dure et beaucoup plus sévère que sa fille.

 

Je tremblais comme une feuille devant ma belle mère.

 

J'étais comme un chien aux pieds de sa Maîtresse.

 

Puis ma belle mère me dit : "Ne me dit pas que tu t'es retrouvé ruiné du jour au lendemain."

 

J'ai répondu ceci à ma belle mère : "Oui Madame, vous avez raison. J'ai déjà fait plusieurs chèques sans provision qui ont été rejetés par la banque. J'ai reçu à plusieurs reprises des recommandés de la banque pour m'avertir des problèmes de gestion de mon compte. Le directeur de la banque a téléphonné plusieurs fois à mes parents pour les alerter. Mes parents ne veulent plus couvrir mes dépenses et pourtant j'ai continué à dépenser jusque ce midi lorsque ma carte a été avalée par le distributeur, j'ai immédiatement compris que j'étais très mal."

 

Ma belle mère me dit : "tu n'es qu'un idiot. Je ne veux plus te voir, je suis trop déçu par ton comportement. Rentre chez toi en parler avec tes parents."

 

Ma belle mère me donna l'autorisation de me relever. 

 

J'ai dis : "Au revoir Madame". Elle ne m'a pas répondu...

 

J'ai compris que ma belle mère avait été vraiment déçu par mon comportement.

Je savais que je venais de perdre mon statut priviligié d'esclave aux sublimes pieds de ma belle mère. 

 

 

Aujourd'hui après des années de désespoir, comme vous le savez, j'ai rencontré ma nouvelle Princesse.

J'ai l'impression de revivre ce que j'ai resenti lorsque j'avais rencontré ma première Princesse.

J'espère de tout mon coeur que la vie nous laissera construire une belle et grande histoire d'amour.

Comme ma première Princesse, ma nouvelle Princesse a une famille modeste. Je me rends compte que je recommence à payer pour ma nouvelle Princesse. Mais je sais aussi que si ma nouvelle Princesse était une famille riche, je paierai quand même. Car pour moi dans un couple, c'est l'homme qui doit payer pour sa femme, je ne peux pas concevoir qu'il en soit autrement.

Donc, je recommence à dépenser pour ma nouvelle Princesse et j'en suis heureux. Ma Princesse a un enfant.

Je dépense aussi pour son enfant et j'en suis heureux. J'aimerai qu'un jour, son enfant me considère comme son père adoptif.

Bien entendu, je ne dépense pas des sommes énormes comme je le faisais à l'époque avec ma Princesse. J'ai retenu les leçons du passé et je ne referai plus cela.

Mais néanmois, je me rends compte qu'entre les sorties, les achats pour ma nouvelle Princesse et pour son enfant, le total monte très rapidement.

N'ayant pas de travail actuellement, je sais que je dois faire très attention financièrement.

 

A l'époque, j'étais tombé fou amoureux de ma Princesse. J'en ai perdu la tête et j'ai dépensé les économies durment accumulé en quelques semaines.

Aujourd'hui, je me rends compte que je suis en train de tomber amoureux de plus en plus chaques jours de ma nouvelle Princesse mais je ne veux plus perdre la tête comme il y a déjà presque 10 ans.

Depuis toutes ces années, j'ai réussi à refaire des économies car je n'avais plus rien. J'ai réussi à refaire ces économies en travaillant dur et en me privant.

Ces économies sont là pour m'aider en cas de coup dur car je suis bien placé pour savoir qu'il est impossible de savoir ce que la vie nous réserve. il faut donc être prévoyant.

De plus, j'ai économisé pour pouvoir un jour réaliser un projet qui me tient à coeur depuis des années. Mon rêve est de pouvoir acheter une maison.

 

Donc, aujourd'hui, je suis heureux d'avoir rencontré ma nouvelle Princesse. Je suis de plus en plus amoureux. Je suis heureux de pouvoir enfin construire avec son enfant la famille dont j'ai toujours rêvé.

Je suis heureux de pouvoir leur payer leurs sorties et leurs achats.

Mais je vais rester très prudent car il est hors de question que je refasse les erreurs du passé.

Je me refuse de prendre dans mes économies.

Je dois tout faire pour retrouver un travail et adapter mes dépenses avec mes moyens actuels. Et si je dois réduire mes dépenses, je dois l'accepter et je dois oser le dire.

Depuis ces erreurs, je n'ai plus jamais été à découvert sur mon compte et je ne veux plus jamais que cela arrive.

Je ne veux plus faire de chèque sans provision. Je ne veux que l'on me retire mes moyens de paiement.

Je ne veux plus recevoir de coup de téléphonne du banquier. Je ne veux plus risquer d'être interdit bancaire.

 

Même si je suis de nouveau amoureux, je dois garder la lucidité pour ne pas dépenser et vivre au dessus de mes moyens. je dois garder mes économies et essayer de les augmenter un peu à la fois.

Chaques jours, je serai très vigilant sur ce que je dépense car j'ai trop souffert dans le passé et je ne veux pas que cela recommence.

 

 

Les fétichistes éprouvent du désir érotique pour un objet, une partie du corps ou une matière pour ce qu'il représente plus que pour la personne qui s'y rattache. Autrefois considéré comme une maladie, le fétichisme est devenu une mode.

 

Le fétichisme aujourd'hui !

Souvent associé aux talons aiguilles et autres corsets, le fétichisme connaît lui aussi des bouleversements notables. Internet, et la société de consommation galopante ont modifié la notion de fétichisme sexuel. Le point avec Emilie Notéris, qui en explore les nouveaux contours dans un essai signifiant.

Le fétichisme, pour la plupart d'entre nous est souvent lié à une matière, comme le cuir, ou le latex... Il peut également être relatif à certaines parties du corps, comme les seins, les fesses... et les pieds, bien sûr. Il s'entoure d'une connotation sexuelle, lorsque cette "adoration" s'accompagne d'une excitation sexuelle. Notre époque entraîne de profondes mutations, y compris en ce domaine.

Vous avez dit fétichisme ?

Bien avant qu'il ne se fixe sur nos pieds, ou les lacets de nos corsets, le fétichisme a connu bien des pérégrinations.

 

Né en 1756 sous la plume de Charles de Brosses, il se définit par son caractère religieux. Il s'érige contre les populations qui s'adonnent au culte des dieux "fétiche", et placent les objets en idolâtrie. Attribué en premier lieu aux ethnies africaines, le fétichisme s'est étendu aux populations non occidentales.

Cette notion prend ensuite un tour économique sous l'égide de Karl Marx qui fait allusion au caractère "fétiche" de la marchandise.

Quant à sa connotation sexuelle, elle nous vient de Freud pour qui le fétiche est un substitut impropre de l'objet sexuel. Selon lui, le fétiche supplante l'objectif, c'est-à-dire la jouissance !

 

La fétichisation de la femme

La fétichisation de la femme est manifeste, "celle-ci fait l'objet d'une transaction dont l'ultime objectif serait sa marchandisation" analyse Emilie Notéris au cours de son enquête poussée qui en explore bien des retombées. Une fétichisation fortement exploitée par la littérature. On peut noter par exemple, la littérature courtoise qui énumère les "blasons du corps" féminin, devenu un genre à part entière. En photographie, cinéma et illustration, ce mouvement est largement développé.

Nous retiendrons plus spécifiquement, parce qu'il est sans doute le plus répandu, le fétichisme du pied. Selon Freud, ce serait la première chose que l'enfant verrait avant de chercher à rencontrer les parties génitales de sa mère. Mais en réalité, le fétichisme s'applique à toutes les parties du corps, non-érogènes, comme les cheveux et à des dérivés, comme les pièces de lingerie, dont la plus connue est le corset, ou encore les chaussures et plus encore les talons aiguilles. Un fétichisme, sorti du ghetto de la perversion, et élevé aujourd'hui en véritable art du glamour, en particulier par Dina Von Teese.

Internet et godemichés changent la notion de fétichisme

La révolution Internet a bouleversé également la notion de fétichisme. "Il y a comme un retournement, Internet a dématérialisé la notion de fétichisme" déclare Emilie Notéris. Le rapport s'est complexifié, avec une dématérialisation.

Avant le fétichisme se portait sur un objet ou une partie du corps ; maintenant on s'auto fétichise par le biais d'avatars, qui deviennent le support de fantasmes... et qui circulent de façon virtuelle. Là encore ce n'est pas la jouissance qui est recherché, mais bien une "objetisation de soi", version virtuelle. C'est très nouveau ! Le milieu artistique s'est emparé de cette mutation, et les femmes s'auto fétichisent plus volontiers sur un mode virtuel.

Pub et fétichisation

"La publicité joue de plus en plus sur des codes fétichistes" affirme Amélie Notéris. A savoir : la pub fait appel à des notions de désir, et les détourne, en sollicitant les ressorts de la sexualité, là où il n'y a pas lieu. Une voiture, un rasoir, du surimi sont pourvoyeurs d'orgasme. Travestis pour ne pas être découverts, ses codes spécifiques sont intégrés à un système marchand. "La vie sexuelle est devenue une valeur marchande, sur exploitée dans la pub, le marketing et les médias, modifiant les rapports entre les hommes, au profit des objets...". À ce titre, le fétichisme sexuel va dans le sens d'une "chosification" des rapports humains, avec le risque d'une exténuation du fantasme...

Un danger certain, qui nous inviterait à nous positionner en résistant face à la société de consommation. Peut-être en recréant une aura autour des objets de son désir, et en renouant avec les codes d'un néo-fétichisme à inventer !

 

L'essentiel sur le fétichisme

Longtemps considéré comme une perversion, une déviance pathologique voire même une maladie, le fétichisme est désormais devenu un phénomène de mode ; mais qui sont réellement ses adeptes ? Que signifie réellement ce mot souvent utilisé à tort et à travers ? Où trouve-t-il son origine ? Faisons le point.

A l'origine, le terme " fétichisme " (du portugais " feitiço ", artificiel, sortilège, mot dérivé du latin " facticius ", destin) désigne une pratique religieuse consistant à adorer un fétiche, un objet de culte. Mais en sexologie et dans le langage courant, ce mot a pris un tout autre sens...

Petite histoire du fétichisme

C'est entre le XIXe et le XXe siècle que la sexologie reprend le mot qui désigne alors le fait d'être sexuellement excité par un objet, une matière ou une situation en particulier. Le terme est employé pour la première fois par un psychologue français, Alfred Binet, en 1887. A l'époque considéré comme une perversion pathologique, le fétichisme a, selon lui, pour origine une association faite entre un objet inanimé et un traumatisme survenu dans l'enfance.
C'est ensuite Magnus Hirschfeld, sexologue, qui mettra le premier en évidence le fait que nous possédons tous, à des degrés divers, des fétichismes en tant que préférences, même si ceux-ci ne peuvent être systématiquement rangés dans la catégorie des perversions.
En 1927, Freud publie son célèbre Fetichismus, et introduit ainsi le terme dans le langage courant. Pour lui, le fétichisme est intimement lié à l'angoisse de la castration et ainsi au moment où l'enfant découvre que sa mère ne possède pas de pénis. A noter que Freud exclut ici totalement les femmes de sa théorie...
Viendra ensuite la publication du rapport Kinsey, point de départ de la libération sexuelle, dans lequel le sexologue éponyme différencie fétichisme et paraphilie (ou perversion sexuelle).

 

Définition du fétichisme

Le fétichisme n'est désormais plus considéré comme une déviance dangereuse et pathologique. Ce n'est plus l'excitation provoquée par le fétiche qui se révèle problématique, mais la souffrance et les difficultés dans la vie quotidienne qu'elle peut engendrer.
Alors pour résumer, comment définir le fétichisme ? La psychiatrie utilise, pour le diagnostiquer, deux axes principaux. Est ainsi dit fétichiste celui ou celle qui :

1. Fantasme sur un objet inhabituel depuis au moins 6 mois ;
2. Voit sa vie sociale et/ou professionnelle perturbée par cette attirance.

Attention cependant : le traitement n'a rien d'obligatoire, sauf si la personne concernée en souffre. Le thérapeute pourra ainsi lui proposer deux alternatives : une thérapie cognitive qui influera sur le comportement du patient, ou une psychothérapie qui tentera de mettre en évidence le traumatisme originel.

Les rendez-vous fétichistes

Aujourd'hui, le milieu fétichiste et le milieu sadomasochiste (SM) tendent à se recouper et nombreuses sont les soirées au cours desquelles les adeptes se retrouvent et rivalisent d'originalité dans le choix de leurs tenues. Les habitués de la scène dite "fetish" connaissent ainsi bien la fameuse Nuit Elastique, organisée une fois par mois aux Caves Lechapelais à Paris, la Nuit Demonia, rendez-vous incontournable des fétichistes les plus débridés ou encore le Fetish Week-end qui rassemble chaque année, à Montréal, artistes renommés et anonymes passionnés.

Les objets du fétichiste

L'imagerie fétichiste s'affiche partout et les rassemblements estampillés "fetish" se multiplient aux quatre coins du monde. Sur quoi portent les fétichismes les plus fréquents ? Comment artistes, publicitaires et people ont-ils repris à leur compte les symboles d'un monde autrefois réservé à un cercle d'initiés ?

Impossible d'établir une liste exhaustive des différents fétichismes tant ils sont nombreux et parfois décalés. Doctissimo vous présente les plus fréquents.

Objets, icônes et imagerie du fétichisme

Il peut s'agir d'une matière (cuir, latex, résille, vinyle), d'une partie du corps (pieds, seins), d'un objet (chaussures, collants, talons aiguilles), de sous-vêtements (culottes, porte-jarretelles) ou encore de vêtements (uniformes, corsets). Citons également le fétichisme des lunettes, celui de la couleur des cheveux, celui du physique particulier (femmes rondes ou au contraire très maigres, femmes enceintes), le fétichisme du handicap, des odeurs (bonnes ou mauvaises), et certains peuvent se révéler particulièrement surprenants pour les non-initiés : fétichisme de la cigarette, de l'urine, des chaussettes, des aiguilles, etc.
On peut ainsi citer parmi les plus courantes, le rétifisme, qui est le fétichisme des chaussures, l'altocalciphilie, le fétichisme des talons hauts ou la doraphilie, pour les matières de type latex, cuir, caoutchouc… L'un des plus exotiques est la plushophilie, qui est le fétichisme des peluches

 

Le fétichisme dans les médias

Mais le fétichisme s'est rapidement diffusé au-delà du cercle des seuls adeptes.
De nombreux photographes (Christophe Mourthé, Ludovic Goubet, Robert Chouraqui), stylistes (Katja Ehrhardt et ses poupées de latex, Patrice Catanzaro et ses corsets de cuir) et dessinateurs se sont illustrés en mettant en scène l'imagerie fétichiste dans leurs oeuvres et réalisations.
Les publicitaires n'ont pour leur part pas raté le coche et ont bien compris qu'à défaut de séduire, les représentations fétichistes ont de quoi attirer l'oeil du public et l'interpeller avec des images de plus en plus osées.
Le cinéma n'a pas non plus hésité à reprendre à son compte les icônes fetish, citons Matrix et ses héros en combinaison de cuir, Barb Wire incarnée par une Pamela Anderson en total look vinyl, Catwoman, etc.
Les stars ont elles aussi compris l'impact que pouvait avoir l'imagerie fétichisme sur leur public et nous gratifient régulièrement de tenues qui ne dénoteraient en aucun cas dans les soirée au dress-code le plus strict. Ainsi Tina Turner, Samantha Fox, Meg Ryan, Beyoncé ou encore Shakira ont toutes dans leur armoire la parfaite panoplie fétichiste et ne manquent pas une occasion d'en faire profiter leurs fans.
Côté littérature, les auteurs ne sont pas non plus en reste. Ainsi, on trouve de nombreux livres consacrés au fétichisme. Les amateurs de belles jambes affectionneront ainsi "Jambes de femmes en photos" aux Editions Roger Viollet, les passionnés de pieds aimeront "Le fétichisme du pied", aux Editions Parkstone (collection Tentation), et tous apprécieront "L'art du fétichisme" de la désormais célèbre Dita Von Teese.

 

Je suis très heureux dans ma relation avec ma nouvelle Princesse. Néanmois, au cours de ce mois de juin, j'ai mis en danger cette relation. En effet, j'ai beaucoup de mal à changer mes habitudes de célibataire et ma Princesse commence à en avoir marre à juste titre. J'en ai conscience mais je dois arriver à changer et ce n'est pas facile.

 

J'ai de la chance que ma nouvelle Princesse fasse preuve de tant de patience avec moi. Beaucoup m'aurait déjà quitté au vu de mon comportement. Je ne suis jamais disponible, j'ai toujours quelquechose à faire.

En me donnant toujours une nouvelle chance, ma nouvellle Princesse me prouve qu'elle tient à moi et qu'elle m'aime.

 

Mais je dois faire attention de ne pas trop tirer sur la corde car ma Princesse pourrait finir par se lasser et je ne supporterai pas de la perdre.

 

Néanmois au cours de ce mois de juin, nous avons eu l'occason de faire des sorties qui nous ont permis de nous rapprocher et de consolider notre relation.

Nous construisons peu à peu une vie de famille avec son enfant et j'en suis heureux.

 

 

Je commence à en parler peu à peu à ma famille et mes amis mais là encore je dois accélrer le rythme sinon ma Princesse risque de perdre patience.

 

Je désire ma Princesse mais je préfère que l'on prenne notre temps, je l'aime sincèrement et je veux que notre première fois soit parfaite.

 

 

 

 

 

Je désire également ses merveilleux pieds...

 

 

Le mois de Juillet sera important pour prouver à ma nouvelle Princesse que je fais des efforts pour que l'on se voit plus et surtout pour que l'on puisse s'aimer toujours plus.

 

Je vais devoir parler à ma famille, mes amis mais ce qui me terrorise c'est la réaction de ma belle mère et je sais qu'un jour ou l'autre je serai confronté à ce problème, je ne pourrai pas lui cacher indéfiniment.

Je n'ai plus aucune nouvelle de l'agence matrimoniale, je n'en ai plus besoin pusique j'ai rencontré ma nouvelle Princesse.

 Néanmois c'est une véritable arnaque qui m'a fait perdre de l'argent!

Mon besoin de soumission est toujours là en moi.

 

 Ma nouvelle Princesse sera t elle me dominée?

Il est trop tôt pour que je le sache.

 

J'ai découvert un nouveau site qui permet de rentrer en contact avec des femmes dominatrices. Je m'y suis inscris, je n'ai pas pu résister, jai tellement besoin d'être dominé.

 

Mais je me rends compte que sur ce site, ce sont pour la plupart des dominatrices profesionnelles.

 

Les dominatrices professionnelles coutent chers.

Je n'ai donc pas été revoir Maîtresse Julia au cours du mois de Juin.

 

Néanmois j'ai téléphonné à des dominatrices que j'ai rencontré sur ce site mais il faut toujours payer. Peut être moins qu'avec Maitresse Julia, je ne sais pas. Mais j'avais dis que je n'irai plus voir d'autres dominatrices après avoir vécu la mauvaise expérience avec une dominatrice que je ne connaissais pas.

 

De plus, cela me gène vis à vis de ma nouvelle Princesse mais d'un autre coté je venais enfin de vivre intensément mon fétichisme des pieds et la soumission aux pieds de Maîtresse Julia, je ne veux pas renoncer à tout cela.

 

Je ne sais donc pas quoi faire. Et comme je vous l'ai dis, les dominatrices professionnlles coutent chers et je dois payer pour ma nouvelle Princesse, pour son enfant et je veux faire des économies pour l'avenir. Et surtout je ne veux plus recommencer les erreurs du passé et me mettre dans le rouge à la banque.

Je ne sais donc pas si j'aurai les moyens de payer pour aller voir une dominatrice professionnelle.

 

 

 

Je vous raconterai au mois de Juillet ce qui s'est passé et les décisions que j'ai prise...