Mercredi 7 septembre 2011 3 07 /09 /Sep /2011 19:50
Par esclave-de-pieds
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Mardi 6 septembre 2011 2 06 /09 /Sep /2011 19:41

Comme vous le savez, suite au drame qui a touché ma Princesse, j’ai ressenti le besoin d’écrire. Aujourd’hui, j’ai décidé de partager avec vous le premier texte que j’ai rédigé. Au départ, je ne me doutais pas que cela allait devenir ma monographie, et je ne savais pas non plus que ce texte serait publié. J’avais simplement besoin d’exprimer ma souffrance en mots. Ce texte est la base de ma monographie, j’espère que vous l’apprécierez…

 

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Je me présente. Je suis un homme qui a toujours rêvé d'être soumis. J'ai 23 ans et, à l'heure actuelle, un événement me conduit à faire le point sur moi-même et mes besoins. Depuis plusieurs mois, j'ai découvert le merveilleux site de Madame Elise Sutton et celui-ci fut une véritable révélation pour moi. Depuis, j'essaie de consacrer le plus de temps possible à lire toutes les rubriques, plus intéressantes les unes que les autres. Aujourd'hui, j'ai décidé de vous expliquer précisément ce que je ressens à ce moment charnière de ma vie, en insistant sur le grand besoin que j’ai d'être conseillé et sur l’aspiration qui est la mienne d'être guidé.

 

Je vous certifie que tout est vrai et je serai honoré si un jour cela apparaît sur votre merveilleux site. Je vais vous expliquer mon histoire, ma découverte de la soumission, mon adoration pour les pieds de femme et le fait qu'aujourd'hui je suis un peu perdu, ne sachant plus quoi faire.

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Ma découverte de la soumission et de l'adoration pour les pieds de femmes 

À mon adolescence, je me suis rendu compte que j'avais une attirance vraiment très forte pour les pieds de femmes. En effet, quand je voyais des dames dans la rue, je ne pouvais pas quitter des yeux leurs jolis pieds, qu’ils soient chaussés ou non : j'étais sous leur charme !!!

À cet âge-là, les garçons commencent à acheter des revues coquines mais ce qui m’attirait uniquement, c'était des photos mettant en scène et en valeur les pieds d'une femme. C'est cela qui m'a toujours attiré et je me rappelle que j'imaginais des scénarios dans lesquels une femme m'obligeait à me mettre à genoux devant elle et à lui baiser les pieds, partout. Donc, dès mon adolescence, je rêvais d'être dominé mais à ce moment-là, je ne comprenais pas encore tout. Je me rappelle bien que lorsque j'ai commencé à avoir mes premiers désirs, lorsque mes hormones ont donné leurs premiers signes d’activité, cela se produisait toujours lorsque j'apercevais les pieds d'une femme.

J'ai longtemps nourri cette passion et ce rêve d'être aux pieds d'une femme, en silence bien sûr, car il est difficile de parler de cela à quelqu’un. Je me souviens de plusieursinstitutrices que j'ai eues au collège. En fait, je me souviens surtout de leurs merveilleux pieds et du désir si intense qu’ils me donnaient pendant toute la durée des cours. Je me rappelle de l'une d'entre elles qui était professeur de français. En hiver, elle portait des collants et durant le cours, elle sortait régulièrement ses pieds de ses chaussures. J'étais complètement fasciné, je rêvais de les lui baiser. En été, elle mettait des claquettes et je pouvais apercevoir ses talons. Je ne quittais pas des yeux ses pieds que je pouvais admirer et dont je rêvais de lécher le moindre millimètre de peau. Je me souviens que, la nuit, je l'imaginais assise dans un fauteuil avec plusieurs soumis à ses pieds, dont moi bien sûr…

Malgré les années qui ont déjà passé, tout cela m'a marqué et je m'en souviens très clairement. Je devais avoir 14 ans peut-être. Mon désir de soumission était déjà là, en moi, et par la suite, il ne fit que grandir. J'avais d'autres professeurs très sévères. J'imaginais qu'elles m'obligeaient à m'agenouiller et à leurs baiser les pieds. J'avais une institutrice très sexy qui faisait toujours pendre ses chaussures au bout de ses pieds. J’avoue que c'était vraiment très difficile de résister. À de nombreuses reprises dans ma vie, j'ai eu envie de tout avouer à une femme ou de me jeter à ses pieds, tant mon désir était profond, mais la peur des conséquences m'a toujours freiné. Je me souviens aussi d'une camarade de classe qui était extrêmement dominatrice et qui me maltraitait. J'imaginais des scènes dans lesquelles je me prosternais à ses pieds. J'ai aussi découvert la soumission, notamment le bondage, à travers des films que j'ai trouvéspar hasard. Ainsi, lorsque j'étais seul, je m'attachais et imaginais que ma Maîtresse me dominait. Être ligoté, voilà aussi quelque chose qui me fait rêver. Par exemple, lorsque l'on est attaché à genoux, les mains dans le dos, devant sa Maîtresse, on lui appartient réellement, on se retrouve sans défense. Elle peut faire de nous ce qu'elle veut, cela doit donner un sentiment de soumission vraiment intense et total. Je rêve toujours d'atteindre une telle impression de soumission mais j'ai toujours été conscient qu'il fallait réaliser cela avec une personne en qui l'on a entièrement confiance, car là on se livre complètement.

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Je me masturbais en regardant des revues montrant des pieds de femme ou en imaginant des scénarios de domination. Comme je vous l'ai dit, cette envie, ce besoin d'être dominé se sont vraiment exprimés dès mon adolescence. J'ai rapidement compris que je n'avais pas vraiment les mêmes centres d'intérêt que mes amis. Je dois dire que, dès ce moment de ma vie, j'ai vraiment eu des fantasmes de domination très durs. Je rêvais d'être attaché dans tous les sens, d'être fouetté, de devoir boire l'urine de ma Maîtresse. Je dois dire que cela me fit me poser des questions sur moi-même car à ce moment-là, je ne connaissais pas l'existence des douches dorées, que j’ai découvertes par la suite sur Internet. Je me disais : « Ce n'est pas normal de penser à de telles choses ! » J'allais même jusqu'à m’imaginer léchant le cul de ma Maîtresse après son passage aux toilettes !!! Ce sont des choses qui me venaient naturellement dans la tête et je dois dire qu’elles m'excitaient vraiment. Lorsque j'ai été connecté à Internet, j'ai pu mieux découvrir la soumission au travers des différents sites de « Maîtresses professionnelles » ou de sites parlant du fétichisme pour les pieds de femmes. J'essayais d'aller sur des chats pour parler de mes envies, mais la plupart des femmes sont effrayées et mettent vite fin à la discussion. C'est ce qu'il y a de plus terrible : avoir des envies, des besoins et ne pouvoir en parler à personne. Car discuter de cela en famille, c’était vraiment très délicat et il est vrai que confier un tel secret à quelqu'un n'est pas aisé, car il faut avoir une immense confiance en la personne. Aujourd'hui, je vous ouvre mon cœur et ma vie.

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Mon histoire 

Trop timide sûrement, je n'ai eu que très peu de petites amies. Je n'étais pas quelqu'un de solitaire ou de non sociable, non. Au contraire, pendant toutes mes années d'études, j'ai toujours eu beaucoup d'amis. Nous sortions énormément. Nous parlions de filles comme tous les garçons de cet âge mais je devais faire semblant d'avoir les mêmes centres d'intérêt que les autres. Par exemple, « les seins »… Il est vrai que les jeunes garçons parlent beaucoup de cela entre eux. Je ne vais pas dire que je n'ai pas d'attirance pour les seins des femmes, ce serait faux, mais moi mes yeux sont attirés immédiatement par les pieds ou la manière dont est chaussée une femme, mais là encore je ne pouvais pas en parler. Encore une fois, c’est cela le plus dur : ne pas pouvoir parler librement de ce que l'on ressent. La société nous a tellement inculqué des modèles que lorsque l'on s’en écarte un peu, on est toujours taxé de « bizarre » et c’est pourquoi on ne confie rien d’intime à personne. Bien entendu, cela reste toujours en nous. et l'on finit par se demander si l'on n’a pas « un problème » ! Il est vrai que c'est une question qui m' a souvent hanté : « Pourquoi es-tu attiré par les pieds des femmes ? Pourquoi rêves-tu d'être dominé ? » Je ne comprenais pas et je n'avais personne pour m'aider. Mes amis, qui étaient pour la plupart des « beaux gosses », enchaînaient les conquêtes ; ils avaient connu bien avant moi leur « première fois ». Comme eux, moi aussi je voulais souvent « sortir » avec telle ou telle fille, mais souvent par timidité je ne faisais rien, ou alors la réponse de la fille était non. Voilà pourquoi je suis arrivé à l'âge de 19 ans en n’ayant quasiment aucune expérience sexuelle, en ayant beaucoup rêvé, en ayant beaucoup fantasmé. Avec mes amis, nous sortions en boîte de nuit, je les voyais draguer des filles, tandis que moi je restais toujours sur le côté. J'ai vécu avec mes amis leurs premières fois ; ils m'en parlaient et je ressentais de la jalousie, j'étais frustré. D'ailleurs, juste avant de rencontrer ma Princesse, j'avais une réelle envie d’aller voir une « professionnelle » pour découvrir les plaisirs de l'amour. Mais là encore, mes vrais besoins m'ont toujours rattrapé, car je me disais : « Je vais plutôt lui demander si elle accepterait que je lui baise les pieds ». Voilà en fait le début de mon histoire, de mon adolescence à mes 19 ans. En façade, j'étais un jeune comme tous les autres qui sortait avec beaucoup d'amis. Seul bémol : pas de petite amie. Mais en silence je nourrissais mon besoin de soumission ; je réfléchissais aussi aux moyens d’aller voir une Dominatrice professionnelle, mais tous les sites présentaient des Maîtresses résidant en région parisienne, ce qui était beaucoup trop éloigné pour moi. Plusieurs fois, j’ai essayé de rencontrer quelqu'un sur les chats mais mes rencontres ne furent pas concluantes. De plus, je savais qu'avec les rencontres virtuelles, il faut être bien prudent. Je me disais toujours ceci : « Si je trouve une fille ou une femme qui accepte que je lui baise les pieds, après elle connaîtra mon identité et mon secret et cela me fait peur ». C’est une crainte que j’ai toujours à l'heure actuelle. J'ai eu deux ou trois correspondantes sur Internet, souvent des femmes plus mûres qui n'étaient pas choquées par mon adoration pour les pieds, qui trouvaient même cela mignon et qui acceptaient d'en parler un peu par mail. Mais je n'ai jamais osé en discuter vraiment à fond avec quelqu'un. Il est vrai aussi que j'ai toujours eu une attirance pour les femmes mûres et je pense que cela vient du fait que si la femme est plus expérimentée que l'homme, elle sera naturellement dominatrice et prendra le dessus. De plus, je me disais une femme mûre apprécierait peut-être plus qu'une femme de mon âge d'avoir un « petit jeune » à ses pieds. Cela est évidemment resté de l'ordre du fantasme comme malheureusement énormément de choses. Je me souviens que, lorsque j'allais chez des amis, j'ai vu plusieurs fois leur mère en train de mettre du vernis à ongles. J'étais sous le charme, je n'avais qu'une envie : me jeter aux pieds de la dame. Je me souviens aussi que lorsque j'allais à la piscine avec les copains, je regardais les pieds des femmes et ils me faisaient rêver, tout comme quand j'allais à la plage avec mes parents. Là, je voyais des magnifiques pieds de femme, je rêvais de pouvoir les leur baiser, mais là encore je devais me retenir. Voilà un bon résumé de mon adolescence : beaucoup de fantasmes mais uniquement des fantasmes !!!

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À l'âge de 19 ans, je rencontre une fille dont je tombe littéralement amoureux dès le premier jour. Ce sera ma Princesse !!!

Nous lions peu à peu une amitié de plus en plus solide. Très rapidement, après que je lui ai avoué mes sentiments, ma Princesse me dit que je ne suis pas son genre et qu'elle préfère me garder comme ami. Peu à peu, je me rabaisse de moi-même en me disant que je ne suis pas assez bien pour elle et je me promets d’essayer de la servir du mieux possible, d'être attentionné pour lui rendre la vie la plus agréable possible. À défaut de pouvoir être son petit ami, je vais essayer d'être son chevalier servant, un serviteur dévoué. Ce sont des termes qui sont venus à moi naturellement ; d'ailleurs, à l'époque j'employais même ces termes dans les lettres d'amour que je lui écrivais. Je lui disais tout cela ; je lui affirmais que pour moi, elle était vraiment une Princesse et donc qu'elle méritait une vraie vie de Princesse. Il est vrai que mes propos ou mon attitude l’étonnaient car elle n'avait jamais rencontré quelqu'un comme moi. Mais cela ne la choquait pas ; au contraire, elle appréciait de pouvoir être traitée comme une vraie reine et de pouvoir libérer son caractère très fort, de pouvoir m'engueuler pour n'importe quelle raison, de me voir m'écraser devant elle et lui demander systématiquement pardon. Il est vrai que, tout naturellement, j'avais été attiré dès le départ par ma Princesse, car je n'avais jamais auparavant rencontré une fille douée d’un aussi fort caractère.

J'essaie donc d'être le plus attentionné possible avec elle. Tout se fait naturellement, ma servitude devient normale pour elle comme pour moi. Je me rappelle même qu'elle me dit que, servie par moi, elle a l'impression d'être vraiment une Princesse. Plus expérimentée que moi en amour, elle n'a pas l'habitude de ce genre de comportement. Elle est plutôt habituée au comportement machiste. Je lui ouvre et lui tiens la portière de la voiture, je porte ses sacs, je me plie à toutes ses volontés. Mais cela n’a rien de calculé, tout vient naturellement de moi, de ma nature. Ma Princesse jouit d'un caractère très affirmé. Je fais en sorte de ne jamais la contrarier. Je lui présente immédiatement mes excuses pour la moindre de mes erreurs.

Je me souviens qu'au bout de quelques mois, je me suis dit que je venais de vivre des moments d’une soumission vraiment très intense. Pour ma part, il y avait des années que je rêvais d'être dominé ; pour sa part à elle, il y avait des années que son côté Dominatrice était resté frustré. Je dirais donc que, lors de notre rencontre, il y se produisit un déclic et que quelques détails ont fait que nous nous sommes aisément rapprochés. Lorsque j'ai adopté cette attitude de servilité envers elle, ma Princesse m'a soumis naturellement de plus en plus chaque jour. Je la chaussais et la déchaussais (pour moi, fétichiste des pieds, c'était un véritable plaisir !). Je portais son sac ainsi que tous ses achats, que je réglais bien évidemment. Je lui ouvrais et lui tenais les portes, lui avançais son manteau, rangeais ses affaires, faisais ses devoirs et surtout acceptais de me faire réprimander régulièrement. D'ailleurs, elle était parfaitement consciente de tout cela puisque je me rappelle qu’un jour elle m'a dit : « Tu as vu comme je t'ai maté !!! ». Je ne pouvais que confirmer.

De toute manière, tout le monde s'était rendu compte qu'elle me dirigeait à sa convenance. Ma famille a souvent tenté de me raisonner mais en vain : je la désirais tellement, je lui appartenais et c'était à elle et à aucune autre que je voulais appartenir. Sa famille aussi s'était rendu compte de la situation. Son père essayait bien de lui dire de ne pas abuser de son pouvoir de fille, mais sans aucun changement. En revanche, sa mère, qui est elle aussi d'un naturel extrêmement dominateur, ne disait rien. Je pense qu'elle appréciait en silence que sa fille ait compris comment il faut « dresser » (je reprends là ses propres termes) un homme amoureux.

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Aujourd’hui, je comprends que lorsque je l'ai rencontrée, je l'ai élevée au rang de Princesse dans mon inconscient et que je me considérais comme son chevalier servant, sinon son esclave.

Et c'est tout naturellement que je me suis soumis à tous ses désirs, et que, plus je me soumettais à elle, plus elle devenait Dominatrice.

Bien évidemment, de mon adolescence à notre rencontre, je n'avais fait que rêver d'être aux pieds d'une femme ; je n’avais vécu aucune aventure ; j'étais donc toujours puceau à ce moment-là… et le suis toujours aujourd'hui.

 

J'ai pu réaliser l'un de mes rêves car ma Princesse avait souvent mal aux pieds. J'ai commencé un jour par les lui masser et cela devint de plus en plus régulier. Pour mon plus grand plaisir, j'ai passé des heures à ses pieds en les lui pétrissant et même en lui donnant des soins de pédicure.J'ai vraiment passé des heures et des heures aux pieds de ma Princesse et ce sont les plus beaux moments de ma vie. Ma Princesse regardait la TV , moi je me mettais à genoux devant elle et lui massais les pieds. Ma Domina me demandait parfois : « Ce n'est pas grave si tu ne peux pas voir la télé pendant que tu t’occupes de moi? » Je lui répondais que je préférais, et de loin, m'occuper de ses pieds. D'ailleurs à chaque fois, je la remerciais ensuite de m’avoir donné l'honneur, le privilège d'être à ses pieds. Au début, elle ne comprenait pas trop, mais après elle prit vite l'habitude de me voir m’agenouiller devant elle.

Je me souviens de nombreux moments où ma Princesse avait froid aux pieds. Je me faisais alors une joie de tomber à genoux pour les lui tiédir avec mes mains. Je me souviens d'une fois où l'on était chez moi. Une fois de plus, ma Domina se plaignit d’avoir froid aux pieds. Je me suis complètement prosterné devant elle pour les lui réchauffer, avec mes paumes et mon souffle alors que nous entendions ma mère qui était juste à côté et que seule la porte fermée nous séparait. J'étais terriblement angoissé à l’idée que ma mère puisse ouvrir la porte et me découvrir dans une telle posture, mais je ne pouvais pas abandonner les pieds de ma Princesse, et je me rappelle qu’elle me dit, sur un ton ironique et fier : « Si ta mère te voyait comme cela ! ». Ce souvenir est extrêmement présent dans ma tête car au-delà de la peur de me faire découvrir, je me sentais tellement bien à ma place, devant ses pieds dont je prenais grand soin. Jamais, je ne me suis senti aussi bien et autant à ma vraie place que lorsque j'étais ainsi aux pieds de ma Domina. D'ailleurs, à chaque fois que je retourne dans cette pièce chez mes parents, j'y repense.

Pour mon plus grand plaisir, ma Princesse m'avait aussi éduqué à lui retirer et remettre ses chaussures et chaussettes. Par exemple, lorsque nous arrivions quelque part, elle avançait un pied et me le présentait et cela voulait dire : « Mets-toi à genoux et retire mes chaussures ! » Lorsqu'il fallait les remettre c'était pareil. J'adorais ces moments qui me rendaient si heureux !!! Ma Princesse m'avait fait apprendre une technique pour retirer et mettre ses chaussures de la manière la plus agréable possible pour elle.

Ces moments permirent aussi à ma Domina de m'humilier. Parfois, je devais lui retirer ou remettre ses chaussures devant mes parents, ou devant sa propre mère, ou même au magasin de chaussures. Parfois, elle exigeait que je lui renoue un lacet… à genoux dans la rue, devant tout le monde !!! D'ailleurs, j'adorais aller au magasin de chaussures avec ma Maîtresse car la voir enfiler tous ces beaux souliers me faisait encore plus désirer ses pieds. Cela renforçait encore mon fétichisme.

Oui, j'adore les chaussures car je trouve qu'elles mettent vraiment en valeur les pieds des femmes et les rendent encore plus désirables. Les bottes qu’elles portent l'hiver, je rêve de les leur nettoyer avec ma langue, ou encore de lécher les sandales qu’elles mettent en été. Ce qui me rend complètement vulnérable et que ma future Princesse pourrait utiliser contre moi, ce sont des pieds blottis dans de petites sandalettes avec semelle compensée qui laissent apercevoir les orteils aux ongles bien vernis. Là, je fonds.

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Bien entendu, nous n'étions pas ensemble et je devais supporter de voir ma Princesse se faire belle pour aller avec d'autres garçons. Parfois, j'étais même là pour la conseiller. En effet, elle se préparait pendant de longues heures devant moi. Je la voyais si belle, je la désirais tant, mais je savais que tout cela n'était pas pour moi. Elle me demandait même comment s’habiller et s’apprêter pour pouvoir séduire plus facilement celui sur qui elle avait jeté son dévolu !!! Je me rendais compte de la situation et j'avais mal mais je ne pouvais pas réagir : j'étais sous le charme de ma Princesse, je lui appartenais et elle m'avait clairement dit que si je m'opposais à ses autres relations, je ne la verrais plus du tout, et cela je ne pouvais le supporter. D'ailleurs, je me souviens d'une soirée où j'étais avec elle et des amis et où je n'ai pas respecté ce qu'elle exigeait de moi. Le lendemain, je n'y pensais même plus mais ma Princesse ne l'avait pas oublié, elle !!! Au contraire, elle me demanda de lui rendre toutes ses affaires et me dit que je ne la verrais plus car mon comportement de la veille avait été inexcusable. J'étais désarmé, j'en étais malade. Finalement, je l'ai suppliée, je l’ai implorée à genoux pendant des heures de ne pas me laisser et elle a fini par accepter, en me prévenant que je n'avais pas intérêt à recommencer. Je dois le reconnaître, cela me rendait fou de jalousie à l'époque mais maintenant que j'y réfléchis bien, cela a encore augmenté ma soumission. D'ailleurs, un soir, je vis que ma Princesse ne rentrait pas, alors que je savais qu'elle m'avait laissé seul pour aller voir un autre garçon. Bien entendu, je donnai une autre version à mes parents car la situation était déjà assez compliquée, je ne pouvais pas ajouter cette information. En effet, personne dans ma famille ne comprenait pourquoi je m'accrochais tant à cette fille qui ne voulait pas de moi et qui « me menait par le bout du nez ». Ce soir-là, ne voyant pas rentrer ma Princesse, j'avais tellement mal que je ne pus résister et que je l'appelai. Elle décrocha vite et me dit qu'elle était encore avec l’autre. Le lendemain, elle m'engueula pour avoir osé l’appeler et m'annonça qu'elle avait couché avec le garçon. J'ai eu terriblement mal mais je ne pouvais rien dire sinon je ne l'aurais plus vue du tout et cela aurait encore été pire pour moi. Finalement, cette histoire avec ce garçon ne marcha pas mais ma Princesse m'en voulut très longtemps car elle resta toujours persuadée que, comme je connaissais un peu le gars, je l'avais influencé pour que leur histoire ne marche pas. C’était faux mais ma Domina le crut pendant longtemps. Je lui étais totalement soumis. Je me rappelle un jour où j'étais à genoux devant elle, en présence de sa mère, et où je lui vernissais les ongles de pieds. Je me sentais tellement bien dans cette posture et cette occupation ! Elle ne le comprenait pas bien mais je préférais être à ses pieds, même si nous étions que des amis, plutôt que d’être avec une autre. Bien entendu, beaucoup de personnes me disaient de me chercher une autre fille, qu’il ne fallait pas accepter qu'elle me traite ainsi. Mais je ne pouvais rien faire :je lui appartenais pour de bon. Je me rappelle aussi un jour ou ma Princesse avait fait tomber par terre un tout petit bijou. Elle me cria : « Mais qu'est-ce que tu attends pour te mettre à genoux à mes pieds et me le chercher ?!? ». J’ai passé de longues minutes, juste à côté de ses merveilleux pieds vernis ornés d’adorables petites sandalettes, jusqu'à ce que je retrouve le bijou.

La mère de ma Princesse lui demandait chaque semaine de faire du ménage dans la maison. Ma Domina préférait se faire belle et m'ordonnait de faire cette corvée à sa place, sans le dire à sa mère bien sûr. Moi qui n'avais jamais fait le ménage auparavant, je me retrouvais à genoux par terre en train de nettoyer, et ma Princesse était extrêmement exigeante. Je me rendais parfaitement compte de tout ce que ma Domina était capable de me faire faire mais je lui appartenais et obéissais.

J'avais un ami qui aimait aussi ma Princesse. Lui ne se soumettait pas comme moi, mais il passait souvent du temps avec nous. Je me souviens d'un jour où ma Domina enfilait des claquettes. Elle nous demanda de lui en enfiler une chacun. Nous étions tous les deux à genoux devant elle et nous lui avons chacun mis une chaussure. Ma Princesse a vraiment un pouvoir de mettre les hommes à ses pieds. D'ailleurs, par la suite, elle m'a dit qu'elle donnerait une chance à mon ami plutôt qu'à moi. Elle m'a parlé de cela pendant de longues semaines et je n'avais pas intérêt à dire quoi que ce soit, sinon la solution était radicale : je ne la reverrais plus. Du coup, j'essayais de me soumettre encore plus pour lui plaire. Un jour, ma Princesse m'a dit : « Les garçons m'ont fait tellement de mal auparavant, que j'ai vraiment l'impression que je me venge sur toi. Tu n'y es pour rien mais tu prends pour les autres !!! »

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La frustration, ma Princesse me l’a bien apprise aussi. En effet, nous n’avions aucun rapport sexuel, nous ne nous faisions aucun câlin ; j'étais simplement autorisé au baisemain et à un petit bisou sur les pieds après le massage. Ma Domina ne m'a jamais interdit de me masturber ; au contraire, elle me disait que cela lui faisait plaisir que je le fasse en pensant à elle, et qu’elle voulait que je lui reste fidèle, même si nous n’étions pas ensemble. Pendant certaines vacances, au long de plusieurs semaines, ma Princesse et moi avons vécu 24 heures sur 24 côte à côte. Elle m'autorisait à dormir près d'elle mais je n'avais surtout pas intérêt à rechercher un câlin, sinon c'était au pied du lit que j'aurais fini ma nuit !!! Je pense que c’était là un moyen de me tenir frustré et de me dominer encore plus. J'avais juste à côté de moi ma Princesse que je désirais tant mais je ne pouvais rien faire !!! Je passais quasiment toutes les nuits en érection et avais même des éjaculations nocturnes que j'essayais de cacher.

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  Plus de deux ans ont donc ainsi passé. Nous étions liés par une amitié très forte. J'adorais pouvoir m'occuper des pieds de ma Maîtresse, même si je souffrais de ne pas être en couple avec elle et d’être obligé de supporter les autres garçons qu'elle pouvait fréquenter. Heureusement pour moi, cela n'a jamais marché avec ces autres types.

Peut-être finalement parce que nous étions faits l’un pour l’autre !!!...

À suivre...

Par esclave-de-pieds
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Vendredi 5 août 2011 5 05 /08 /Août /2011 19:32

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La société d’aujourd’hui est plus que jamais centrée sur la consommation. L'argent est « roi », il a pris une importance inquiétante. Malgré cela, il ne fait pas tout, et en tout cas pas forcément le bonheur...

Dans la vie, l'argent est loin d'être le plus important. Ce qui est primordial, c'est la santé ! Avoir la chance d’être en bonne santé est la plus grande des richesses. Ceux qui en jouissent ne se rendent pas même compte du privilège qui leur est accordé. En général, on n’en prend conscience que lorsque l’on est confronté au malheur, comme je l’ai été avec ma Princesse. Ce bonheur d’être en bonne forme physique et mentale est très fragile, il ne tient qu' à un fil. Alors, oui, par rapport à la santé, l’argent paraît futile.

Néanmoins, j’ai parfaitement conscience du monde dans lequel nous vivons. Il faut bien être honnête : aujourd’hui, dans la société moderne, sans argent il est bien difficile de vivre, je dirais même de survivre…

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J'ai toujours eu la chance d'être entouré d'une famille qui n'est pas aisée mais qui a toujours travaillé très dur pour que je ne manque de rien. Je suis parfaitement conscient du privilège que j'ai eu de grandir, de m'épanouir dans un si bon environnement.

Mes parents ont toujours fait des efforts pour me permettre de mettre de l'argent de côté. Lorsque j'ai rencontré ma Princesse, je me suis mis à dépenser beaucoup d'argent, beaucoup plus que je ne l’avais fait jusque-là. Avant de la rencontrer, je sortais avec mes amis mais je ne dépensais pas des fortunes. De plus, mes parents étaient toujours généreux et ils me donnaient de l'argent pour me permettre de sortir avec mes amis pendant le week-end ou les vacances. Mais lorsque j'ai rencontré ma Princesse, nous avons vécu une relation fusionnelle. Nous étions toujours ensemble. Et les sorties ne se limitaient plus au week-end ni aux vacances. C’était tous les jours que nous allions manger au resto, sans compter tous les achats dans les magasins.

Bien entendu, je me suis retrouvé dans l’obligation de puiser dans les économies que mes parents m’avaient constituées depuis mon enfance. Je n'ai pas besoin de vous expliquer qu’elles ont fondu comme neige au soleil...

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Lorsque j’étais en présence de ma Princesse, je perdais le sens de la réalité ! J'avais tellement l'impression d’être son prince charmant... Comme je vous l'ai déjà dit, j'avais vraiment l'impression d’être Richard Geer dans le film « Pretty Woman ».

Ma Princesse et moi avions eu la chance de ne jamais manquer de rien. Néanmoins, ses parents étaient beaucoup plus stricts que les miens, notamment concernant l'argent. Ainsi, ma Princesse ne portait pas le même regard que moi sur ce dernier.

 

Je suis un garçon qui a mûri très tard. D'ailleurs, c'est au contact de ma Princesse que j'ai vraiment pris conscience de beaucoup de choses. Puis il y a eu toutes ces épreuves que j'ai dû traverser depuis des années et qui m'ont définitivement fait passer un cap.

À l'époque de mes 19 ans, lorsque j'ai rencontré ma Princesse, j’étais encore « un gamin ». D’ailleurs, je me souviens d'une de mes profs qui avait dit à mes parents que je n’étais pas du tout mûr pour mon âge. Bien entendu, à ce moment-là, je l’avais critiquée mais aujourd’hui, avec le recul et la maturité nécessaire, je me rends compte qu’elle avait parfaitement raison. Je me souviens de cette prof. J’avais très souvent fantasmé sur ses pieds… Son côté autoritaire me donnait une forte envie de me soumettre et de me mettre à genoux devant elle. Mais cela n’est bien évidemment resté qu’un fantasme, je n’ai jamais osé franchir ce cap, comme d’habitude… !

Ma Princesse savait que l'argent était dur à gagner et ne tombait pas du ciel. Ma Domina avait souvent dû se priver. Ainsi, quand nous nous sommes rencontrés, ma Maîtresse fut très surprise de voir que je dépensais sans compter mes billets pour nos sorties ou pour lui faire plaisir sous forme de cadeaux. Bien entendu, tous mes dons lui faisaient plaisir, mais elle se demandait comment je me procurais tout cet argent. D’ailleurs, je me souviens, très vite sa maman l’avait alertée sur le fait qu’il fallait absolument que j’arrête de lui offrir plein de vêtements car je finirais par être ruiné. J’avoue que je suis plein d’admiration pour sa mère, car dès les premiers jours elle avait deviné et anticipé ce qui allait se produire quelques mois plus tard…

Ma Princesse me posait des questions et me disait que je devais arrêter de lui offrir tous ces cadeaux. Moi je lui répondais toujours la même chose, c’est-à-dire que lui offrir des présents était pour moi le plus grand des plaisirs, mais un bonheur qui avait un coût…

Ma Domina se posait toujours beaucoup de questions et elle m'avait très souvent mis en garde. Mais j’étais si amoureux, j'étais si heureux de lui faire plaisir ! Puis ce qui devait arriver finit irrémédiablement par arriver ! Je me suis retrouvé ruiné...

Selon vous, comment ma Princesse a-t-elle réagi ? Je vais laisser un peu de suspense, vous le saurez dans la suite de ma monographie.

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Après m’être ruiné, j'ai plus ou moins pris conscience de l'importance de l'argent. Mes parents étaient beaucoup moins généreux avec moi, j'ai dû remonter doucement la pente et j'ai compris que le petit confort dans lequel j'avais toujours vécu n'était pas donné et que j’en bénéficiais grâce à mes parents qui travaillaient durement tous les jours. J’ai compris que l’argent était le fruit d’efforts quotidiens et qu'il ne fallait pas en abuser, qu il ne fallait pas tirer sur la corde...

Puis j'ai subi une longue traversée du désert avec très peu d'argent dans les poches... Ensuite, j'ai eu mon diplôme après beaucoup de difficultés et au bout de longs mois, j'ai décroché mon premier boulot.

Ce premier travail fut pour moi le départ d'une nouvelle vie, un très grand changement...

Le chemin pour arriver à ce premier poste ne fut pas facile. J'étais descendu si bas !... Entre-temps, des emplois temporaires de vacances m'avaient permis de remonter à peu près la pente.

 

Il y a bien entendu eu les stages dans le cadre de mes études mais cela ne rapporte pas d'argent, bien évidemment. Avant de rencontrer ma Princesse, j'avais déjà eu l'occasion de travailler l'été, pour un emploi saisonnier. Mes parents ne m'ont jamais obligé à travailler pendant les congés, et chaque année ils m’emmenaient en vacances, et j’en ai de merveilleux souvenirs. Tout cela pour vous dire que j’avais vraiment de la chance que mes parents m’apportent un tel confort. J'avais travaillé tout un été avant de rencontrer ma Princesse. C'était un ami qui m'avait proposé ce boulot et comme c’était un job sympa, j’avais accepté de travailler avec lui.

Puis l'été suivant, j'ai travaillé par nécessité car j'étais complètement à sec, mais cette fois, je n'ai réussi à travailler qu’un mois sur deux.

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Imaginez ! J'avais toujours eu la chance de ne manquer de rien. Pendant plusieurs mois, avec ma Princesse nous avions mené la grande vie puis soudain la restriction, un changement total. Je n'avais plus aucune économie, il ne me restait plus que mon salaire du job d’été, le salaire d'un mois…

Imaginez encore ! Avec ce salaire, ma Princesse et moi avons dû tenir un an. Bien entendu, la situation était plus que difficile. Il devenait indispensable que je me débrouille pour trouver un taf et avoir un peu d'argent.

Cet argent qui était devenu du jour au lendemain si rare… me manquait beaucoup désormais. J’ai trouvé un boulot d'ouvrier. Bien entendu, il ne correspondait absolument pas à ma formation ni et à mes aspirations mais je n’avais pas le choix. Pour des raisons que je vous exposerai par la suite, je ne gardai pas longtemps ce travail. Il mit simplement un peu de beurre dans nos épinards mais ma situation restait très précaire.

Puis après un an, j'ai enfin décroché mon premier vrai boulot. Et là, comme je vous l'ai dit, ce fut pour moi le changement. Tout s'est alors enchaîné très vite.

Au bout du premier mois, le premier salaire est arrivé. Cela faisait vraiment un bien fou, surtout à mon compte bancaire. Puis au fil des mois, les salaires s'enchaînaient. Je n'avais jamais eu des revenus réguliers comme cela. J'étais donc heureux, surtout après l'année que nous venions de passer dans la misère.

Nous avons donc pu recommencer à profiter des plaisirs de la vie mais de manière plus sage. Ma Princesse était devenue plus que jamais ma conscience. Elle m’empêchait de refaire des folies avec mon argent. Je pense que malgré tous les problèmes que j’avais rencontrés avec la banque, je n'avais toujours pas vraiment retenu la leçon. Heureusement que ma Princesse était là pour m’empêcher de frôler de nouveau la ligne rouge ! Nous avions trouvé un meilleur équilibre, nous profitions de la vie mais de manière plus raisonnable. J'ai toujours eu en moi le goût de donner. Ainsi, bien avant de rencontrer ma Princesse, des amis qui avaient des parents moins libéraux que les miens avaient déjà profité de ma générosité, de ma gentillesse. Clément était beaucoup plus radin que moi. Aussi, je ne comprenais pas pourquoi lui avait du succès avec les filles et pas moi. Mais cela est bien la preuve que l'argent ne fait absolument pas tout dans la vie, qu’il ne pourra jamais acheter l'amour...

Comme je vous le disais, j'ai des amis qui ont profité de mes largesses et qui, aujourd’hui encore, ont envers moi des dettes qui ne seront jamais remboursées. Je me suis fait une raison depuis bien longtemps. Je suis en partie responsable, j’avais qu’à ne pas tant donner…

Mon premier boulot se passait très bien, les mois s’enchaînaient, il était néanmoins difficile de faire des économies car l'argent part si vite…

Mes parents m'avaient ouvert un compte épargne sur lequel au fil de mes années, depuis ma naissance, ils avaient accumulé des économies pour mon avenir. Puis à l'âge de 18 ans, donc une année avant de rencontrer ma Princesse, mes parents m'ont ouvert mon premier compte chèques. Je me rappelle, à l'époque, j'étais encore tout timide. J’étais impressionné de me retrouver dans une banque. Le conseiller m'a ouvert mon premier compte courant, et j'ai donc eu droit à une carte bancaire et à un chéquier. En même temps, mes parents en ont profité pour alimenter mon compte épargne. J'avoue que j'étais heureux, c'était pour moi l'entrée dans le monde des adultes. Mais quand j’y réfléchis, avec le recul, j'étais très loin d’être un adulte, je n'étais pas encore assez mûr comme je vous l'ai souvent dit... J’étais loin de m'imaginer qu'un an et demi après je me serais retrouvé dans cette même agence bancaire, dans le bureau du directeur, pour impayés. Mes parents avaient mis cet argent de côté pour mes études, mon permis, l'achat d'une maison. Ils n’auraient jamais imaginé qu’en quelques mois toutes ces économies partiraient par et pour l’amour de ma Princesse, de ma Domina, de ma Maîtresse.

Je travaillais depuis plusieurs mois. Avec ce premier boulot et ce nouveau pas vers le monde des adultes, et surtout par amour pour ma Princesse, j’ai eu une soudaine envie d'indépendance. Nous avons donc pris une location. D’ailleurs, ce fut vraiment très dur d’en trouver une mais par chance nous avons fini par dénicher « un chez-nous » vraiment très sympa. Mais ce n’était pas facile de joindre les deux bouts, comme on dit. Ainsi entre le loyer, les factures et les courses, plus les quelques sorties que je tenais encore à faire avec ma Princesse, il était très difficile de mettre de l'argent de côté et de faire des économies.

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J'étais tellement amoureux de ma Domina que je ne me rendais pas compte que je dépassais des limites. J'étais dans un cercle vicieux, je voulais toujours faire encore plus plaisir à ma Princesse, j'avais toujours besoin de plus d'argent. Je vidais mes comptes de plus en plus vite, j’étais même prêt à mentir à mes parents pour leur soutirer des sous. Ainsi, mon comportement est devenu si bizarre, si étrange que mes parents pensaient que je me droguais. Pourtant, je n'ai jamais touché à ces saloperies, mais mes parents n'étaient pas si loin de la vérité, j'avais un comportement addictif à l'argent, j'en voulais toujours plus. J'ai dû me retrouver au fond du trou, c'est-à-dire sans plus un radis en poche pour que ce cercle vicieux, cette spirale négative prenne fin...

 

Je veux que vous sachiez que ma Princesse n'est absolument pas responsable de cette descente aux enfers. Au contraire, comme je vous l'ai dit, ma Maîtresse avait la tête sur les épaules ; elle a souvent tenté de me freiner mais je lui mentais sur mes ressources. Lorsqu'elle a découvert la vérité, il était déjà trop tard... Alors, pourquoi en suis-je arrivé là ? Aujourd'hui, en regardant en arrière, j'essaie de trouver des réponses. Je répète que je n'étais pas assez mûr, que je n'avais jamais pris conscience que l'argent ne tombait pas du ciel, que je ne me rendais pas compte des difficultés, de la dureté du monde qui nous entoure. Ainsi, tant que je sortais avec mes amis, je dépensais de l'argent certes, mais de manière raisonnable. Je n'ai jamais eu de soucis de ce point de vue, mais lorsque je suis tombé fou amoureux de ma Princesse mes dépenses ont été multipliées par 10. Mes finances ne pouvaient pas suffire et mes parents ne pouvaient pas suivre non plus, bien évidemment. C’était la première fois que j’étais si amoureux, alors que je n'avais aucune expérience avec les filles. J’étais encore un gamin dans ma tête, je n'ai pas été capable de comprendre que j’étais tombé dans une spirale infernale. Ainsi, je n’ai pas su réagir et m'arrêter avant qu'il ne soit trop tard. Il a fallu que je tombe au plus bas, mais ensuite je me suis relevé avec l'aide de ma Princesse et de mes parents. Sans elle et sans eux je serais peut-être SDF aujourd'hui, j'en ai parfaitement conscience.

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Ma Princesse connaissait parfaitement le monde qui nous entoure. Ses parents lui avaient appris dès le plus jeune âge que l'argent, il faut le gagner ! Ils lui avaient appris qu'il fallait travailler dur pour en avoir. Ils lui avaient appris la valeur des choses et enseigné qu'il faut faire attention à ses dépenses au quotidien et savoir se montrer économe. Ma Princesse, contrairement à moi, n'avait jamais eu beaucoup d’argent dans ses poches. Ainsi, lorsqu'elle en avait un peu, elle l'appréciait et le dépensait avec parcimonie. Ma Princesse a toujours eu en elle une peur qui ne l'a jamais quittée. Nous en avons souvent parlé, elle avait peur de se retrouver à la rue sans rien... Ma Princesse avait conscience que vivre dans un foyer, bien au chaud, c'est une chance de chaque jour. Mais avoir son logement ce n'est pas si facile : il y a le loyer, les factures, etc. Je n'avais pas conscience de tout cela jusque-là...

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Puis ma Princesse a eu ce terrible accident. J'ai alors tout perdu. Je ne parle pas d'argent car l'argent n'est rien face à l'amour. J'aurais préféré être ruiné mais ne pas avoir à vivre un tel drame, une telle souffrance. L'argent ne fait pas le bonheur, l'argent n'achète pas tout, la preuve : même la plus grande fortune du monde ne pourra jamais me rendre ma Princesse...

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Après ce terrible accident, j'étais seul, je ne sortais plus... Les jours passaient, les semaines et les mois. J’étais chez moi, je ne faisais plus rien, mon salaire continuait de tomber mois après mois. Bien entendu, pendant longtemps je n'ai pas dépensé un centime. Depuis que je suis en âge de sortir, cela ne m’était jamais arrivé. Ce qui est paradoxal, ce qui est terrible, c'est que je n'ai jamais autant fait d’économies qu'en cette période dramatique. Bien entendu, cela n'était pas volontaire, j'aurais préféré pouvoir continuer à tout dépenser pour ma Princesse mais malheureusement la vie en avait décidé autrement...

Après ce terrible accident, mes premières dépenses que j'ai recommencé à faire furent des offrandes pour Maîtresse MAEVA.

Puis, j'ai dépensé pour un cadeau à l’intention d’une femme que j'avais rencontrée grâce à un site de rencontres Internet. C'était la première fois que je faisais à nouveau un cadeau à une femme, en dehors de Maîtresse MAEVA bien sûr...

Cette personne m'avait alerté sur le fait que j'étais fragile et que j'étais trop généreux, et que l'on risquait d'abuser de ma gentillesse, notamment sur le plan financier.

Cette personne m'avait bien prévenu et elle ne s’était absolument pas trompée. En effet, je ne m'étais pas rendu compte que ma solitude me rendait fragile...

Je ne vais pas dire que j'ai été abusé mais j'ai fait de grosses dépenses que je n'aurais certainement pas dû faire, mais il est trop tard...

Voici ce qui c'est passé. Toujours sur ce même site de rencontres, que je visite depuis des mois, j'ai rencontré une femme beaucoup plus âgée que moi. J'ai toujours eu une attirance pour les femmes mûres. Je pense que c'est parce qu'elles sont naturellement dominatrices. Nous avons commencé à discuter par l’intermédiaire d’une webcam. C’était d'ailleurs la première fois que je discutais ainsi. J'étais un peu stressé à l’idée de me montrer en direct mais cette femme m’y a obligé et donc, en bon soumis, j'ai obéi. Elle m'a dit qu'elle me trouvait séduisant. Comme c'est si rare que l'on me fasse des compliments sur mon physique et comme il y a si longtemps que je suis seul, je me suis tout de suite emballé. La photo de cette femme me plaisait, sa manière d’être également. Nous avions de longues conversations et nous nous trouvions de nombreux points communs. Dès notre première rencontre, cette femme m'a parlé de ses problèmes d'argent et moi, bien sûr, n'ayant toujours pas retenu les leçons du passé et étant prêt à tout pour ne plus être seul et pour combler le vide laissé par ma Princesse, je lui ai proposé de l'aider...

J'avoue que je ne me sentais pas trop bien, car une partie de moi savait que ce n'était pas normal d'envoyer une si grosse somme d'argent à une personne que je ne connaissais absolument pas. C'est comme si j'avais en moi un ange et un démon. L'ange qui me disait : « Non ! ne fais pas cela ! » et le démon qui me poussait à le faire… Je n'étais pas bien, je me sentais perturbé, je ne savais pas quoi faire et finalement selon vous, qui a gagné : l'ange ou le démon ?

C'est le démon qui a gagné. J'ai envoyé une somme d'argent puis je suis entré ainsi dans un engrenage : j'ai envoyé toujours plus d'argent. Je m'attachais à cette personne ; j'avoue que j'avais sincèrement envisagé une histoire avec elle, malgré tout ce qui nous séparait. J'étais vraiment touché par son histoire personnelle si difficile.

Pour preuve que je m'étais sincèrement attaché : c'est la première femme que j'ai rencontrée après le drame qui a touché ma Princesse. Ce n'est pas anodin ; en tout cas, pour moi.

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J'étais stressé bien évidemment, avant cette rencontre mais pour une fois je ne me suis pas dégonflé, j'ai foncé. J'ai parcouru les centaines de kilomètres qui nous séparaient, je lui avais apporté des fleurs, des chocolats, et bien sûr l'argent qu'elle m'avait demandé. Je m'étais fait tout beau pour lui plaire, j'avais mis mes plus beaux sous-vêtement au cas où...

Nous nous sommes rencontrés et là j'ai compris le décalage qu'il y entre la réalité et le virtuel. C'est comme si j'avais pris un coup de poing en pleine figure ! J'étais comme sonné, KO debout...

J'ai compris qu'il y avait trop de chose qui nous séparaient et que nous ne pourrions pas être un couple. De plus, elle n'était pas comme je l'avais imaginée. Je me sentais mal, je me demandais ce que je faisais là, j'avais menti à tout le monde sur mon absence de la journée. Je culpabilisais pour ma Princesse. Je sais que ce n'est pas bien, mais par moments j'ai même eu envie de trouver une excuse pour partir... Finalement, je suis resté, et en partant je lui ai tout de même donné l'argent que je lui avais préparé.

Nous sommes restés en contact mais ce n'était plus comme avant et surtout je serai dorénavant plus vigilant, j'aurai un autre regard sur les rencontres virtuelles qui peuvent être plus que surprenantes...

Le comble c'est que quelques mois plus tard, alors que j'avais arrêté d'envoyer de l'argent, mon démon a encore repris le dessus et j'ai de nouveau envoyé des sous à cette femme...

 

Je n’ai jamais regretté un seul centime de tout l’argent que j’ai pu dépenser pour ma Princesse. C’est vrai que j’ai vidé mes comptes et que j’ai dépensé toutes mes économies par amour et dévotion pour ma Princesse. Auprès de ma Maîtresse, chaques jours, j’ai passé des années merveilleuses, des moments qui sont gravés à jamais dans ma mémoire. L’argent n’est rien en comparaison du bonheur que j’ai ressenti quotidiennement aux pieds de ma Domina… J’aurai tellement aimer que ce bonheur puisse durer toujours…

Je dois tellement à ma Princesse. Je ne parle pas sur le plan financier quoique lorsque j’étais très mal sur le plan financier, c’est ma Domina qui me prêtait de l’argent et oui c’était le monde à l’envers. En tout cas, ma Princesse ne m’a jamais laissé tomber. Elle m’a soutenu et m’a appris tellement de choses. Elle m’a permis de vivre les moments les plus merveilleux de ma vie. Elle m’a fait grandir, elle m’a permit de mûrir… Elle m’a appris l’importance de l’argent. Ma Princesse m’a ouvert les yeux sur le monde qui nous entoure… Puis il y a eu ce terrible malheur qui m’a fait définitivement comprendre que nous ne vivons malheuresement pas dans un comte de fées…

Aujourd’hui, je veux rester fidèle à ce que ma Domina m’a appris, je ne veux pouvoir utiliser mon argent avec logique et maîtrise…

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Cette femme célibataire à qui j’ai prêté tant d’argent a encore récemment sollicité mon aide. Cette fois-ci, j’ai su résister…

Je sais que je n’aurai pas du donner une telle somme d’argent à une femme que je ne connais quasiment pas. Cet argent que j’ai tant de mal à gagner, cet argent qui aurai pu me servir pour autre chose…

 

Mais, je ne regrette pas de lui avoir donner cet argent. J’ai été touché par la situation de cette femme et je suis heureux d’avoir pu l’aider… J’aimerai encore le faire mais je sais que je ne peux pas aider tout le monde, je dois aussi penser à moi…

 

Ainsi, je regrette absolument pas, bien évidemment l’argent que j’ai pu dépenser pour Maîtresse MAEVA. Je sais que je lui dois tellement, notre divine MAEVA m’a sauvé…

 

Je ne regrette pas l’argent ou les cadeaux que j’ai donné à ces deux merveilleuses femmes que j’ai rencontré sur internet. Je sais que nous ne pourrons jamais construire une histoire mais nous sommes devenus de vrai amis et c’est déjà beaucoup.

Et je vous l’avoue, une partie de moi espère qu’un jour peut être une de ces deux femmes et pourquoi pas les deux accepteront que je vénère leur merveilleux pieds…

 

Car je dois bien l’avouer, je suis toujours autant frustrer…

 

En échange d’une importante somme d’argent, une femme très belle et très sexy est prête à m’accepter à ses jolis pieds…

Mon ange me dit : « Non, tu ne peux pas encore donner tant d’argent à une inconnu… » mais mon démon me dit : « tu retrouveras enfin le bonheur d’être aux pieds d’une femme et cela n’a pas de prix… »

 

Alors selon, qui va gagner, l’ange ou le démon ? en plus je dois me décidais rapidement…

 

Une chose est sûre, plus que jamais j’ai besoin de retrouver ce bonheur ultime d’être aux pieds d’une femme… J’en ai tellement marre d’être frustré.  J’ai besoin de retrouver cette sensation ultime provoquée par le sous espace. Cette sensation de joie si intense lorsque je suis aux pieds d’une femme… A ce moment là, je ne pense qu’à une seule et unique chose, apporter du bonheur, de la détente, du bien être avec mes mains, ma bouche et ma langue. J’ai besoin de retrouver ce bonheur ultime aux pieds d’une femme, ce moment où j’oubli tous les soucis du quotidien et ou je ne vis que pour le moment présent…

 

Face à tous mes soucis du quotidien, j’ai plus que jamais besoin d’être aux pieds d’une femme…

 

Si je ne veux pas dépenser encore une grande somme d’argent, je me dis 15.jpgaussi que je pourrai peut être passer un moment aux pieds d’une des femmes que j’ai rencontré sur le net. Le problème de l’argent ne se posera pas mais il va falloir que j’ose avouer mon secret, ce n’est pas gagner…

 

Je vous tiendrai informé prochainement…

 

Je rassure tous les lecteurs qui n’aimeront peut être pas ce texte différent des autres, je vais reprendre dès le prochain texte, le cours normal de ma monographie…

 

Paillasson ch’ti, esclave sincère, totale, fidèle et dévoué sans collier

Par esclave-de-pieds
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Vendredi 5 août 2011 5 05 /08 /Août /2011 19:22

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